Les rêveries littéraires

Quand l'éthique et le bon sens font embûche à un avis précis.

Le règne de l'empereur a été imaginé par le jeune Thomas, et écrit par sa mère. C'est un récit avec beaucoup de défauts... Mais peut-on parler de défauts face à un enfant de 12 ans, à cette petite graine d'auteur qui ne demande qu'à s'exprimer ? Peut-on traiter de fautes des maladresses commises seulement "à cause de" son jeune âge ?

C'est ce questionnement qui va diriger toute cette courte capsule de cinq minutes, un peu spéciale, du coup. Venez donc m'écouter, accompagnée comme toujours de mon piano...

Comment appréhender la réalité de l'adoption sans l'être soi-même ?

Comment se faire une idée de "ce que ça fait" de changer de pays, de culture sans l'avoir réellement choisi ?

Comment alors peut-on vivre autour de cette identité refoulée ?

La lecture de Couleur de peau : miel m'a ouverte à ces questions et j'y ai trouvé une réponse. Découvrez l'adoption coréenne sous le point de vue d'un adopté coréen, qui nous livre ici son autobiographie en BDs de quatre tomes. Un récit dont je vous parle dans ce podcast, dans cette courte capsule de cinq minutes, toujours accompagnée de mon piano ...

Parfois, un livre a tout pour nous plaire. Univers intéressant, thème basé sur l'écriture et les arts, et pour couronner le tout, un bon succès littéraire, c'est le peu qu'il m'a fallu pour découvrir D'encre, de verre et d'acier. Mais malheureusement, parfois, un livre a tout pour nous plaire, mais il s'avère être bien moins bien que ce qu'on a imaginé juste avant.

Dans cette courte capsule, je vous parle de ce roman qui m'a tant donné envie, et de l'histoire qui me relie à celui-ci, toujours en cinq minutes, et toujours accompagnée de mon piano...

Découvrir un nouveau genre, pour un lecteur, ce n'est souvent pas chose facile.

Mais alors découvrir un auteur dont jamais le-dit lecteur n'a entendu du mal, voire pire, qu'on a toujours mis sur un piédestal dans son entourage, et en plus d'un genre qu'on ne connaît que trop peu, alors la lecture d'un livre de sa bibliographie peut s'apparenter à un véritable challenge.

C'est ce qui m'est arrivé avec Stephen King, dont j'ai voulu déjouer la malédiction... en lisant un de ses romans. Je vous raconte ma lecture, dans cette courte capsule de cinq minutes, toujours accompagnée de mon piano.

Il y a des auteurs qui, à chaque nouvel ouvrage paru, ne cesse de nous étonner grâce à un univers détonnant et étonnant de cohérence. C'est le cas de Joseph Kochmann et de sa saga des Singes de la Bêtise, dont voici le premier tome, Mute.

C'est ce que je vais tenter de vous communiquer dans cette courte capsule de cinq minutes, toujours accompagnée de mon piano.

Au Japon et plus généralement dans le monde, l'homosexualité est un sujet relativement tabou. Les membres de la communauté LGBT sont bien trop souvent moqués, bloqués, voire discriminés. Il est donc d'utilité publique que certaines oeuvres littéraires, comme Le mari de mon frère, paraissent et montrent à quel point les préjugés propres à ces derniers sont nocifs.

Avec ce court manga de quatre tomes, tout en tendresse et en douceur, j'ai pu un peu mieux saisir à quelles difficultés les homosexuels peuvent être confrontées, et ce plus particulièrement au Japon. Un bain de culture qui a tout de même un arrière-goût de déjà vu, ailleurs, chez nous...

Parfois, il arrive qu'au fil de nos divagations littéraires, nous tombions sur un auteur qui nous transforme. Un auteur qui change notre vision d'un genre et qui nous amène jusqu'au bout de la nuit.

C'est ce qui m'est arrivé pour Asimov, qui avec la Fin de l'Eternité, changea ma vision de la science-fiction. Je vous propose de découvrir mon avis sur ce roman qui mélange très habilement voyage dans le temps et questionnements philosophiques sur notre humanité.