Le goût de l'enfance

Le goût du moment de solitude armée d'un livre : la plénitude pour le dramaturge Sergio Grondin

Le goût de la danse, qui fait des nuits des moments d'émerveillements, quand on a huit ans

Le goût des fonds de ravine dans les hauts de l'île de La Réunion

Le parfum des vacances dans les Hauts, pour un enfant enclin à la contemplation

Un son de l'enfance. un "langaz" que les marmay réusissaient à décrypter avec humour

Les sons d'une enfance insulaire, qui savent encore nous bercer aujourd'hui.

L'odeur, rare autrefois, des habits neufs qui vous faisaient vous sentir la reine

Un son d'enfance de Sergio Grondin : la modernité désirable

Le vrai goût du paradis perdu, de la mère nourricière irremplaçable et de la simplicité singulière.

Le parfum des vacances dans les Hauts, pour un enfant enclin à la contemplation

Le dégoût de l'odeur de certains mets étranges venus d'ailleurs

L'odeur d'une enfance passée dans les Hauts parmi les plus arrosés de La Réunion

Un délice pour un enfant de famille très nombreuse dans les années 50 à La Réunion

Le parfum d'enfance des jardins créoles, où pas une plante n'est là par hasard

Être la fille du boulanger vous laisse des goûts d'enfance d'abondance, dont tous les enfants ont rêvé

Un parfum avant d'être un goût, le goût d'une initiation . Ce goût qui nous est si proche aujourd'hui, mais que l'on ne parvient pas à retrouver à l'exacte saveur des premiers temps.

Le pâté créole, de la Réunionnaise Jocelyne : une tourte sucrée-salée, que l’on proposait traditionnellement pour les fêtes de fin d’année.

Le goût du goûter, du truc qu'on pouvait toujours plus ou moins avoir sous la main, même quand les temps étaient durs

Le goût de la saison de la coupe, aux abords des usines sucrières

Le goût des vacances et du temps long partagé entre cousins

Québécoise de Montréal, urbaine nourrie au Charlebois et à la tarte aux pacanes.

Le parfum d'un jardin de ces "gran kaz" de la rue de Paris à Saint-Denis

Le goût salvateur des fêtes, rompant le sérieux et la lenteur du quotidien.

Ou comment survivre dans un pays en voie de rationnement

Le goût de la rareté, le gâteau du dimanche - et pas de tous les dimanches

Le goût du carème

Un parfum, celui qui vous fait quitter l'enfance, tel un rite de passage

Le goût des grandes longues vacances, des fruits mangés (verts?) sur les arbres servant de cachettes

Un goût qui tâche les doigts, qui sent le soleil et le risque que l'on prenait pour s'y approcher de très près...

Un goût déclencheur de cette curiosité à l'autre, cette gourmandise du différent.

Un goût qui dit toute la place des nénènes à La Réunion

Le goût des ombrages et des travaux menus, avec ce petit arrière-goût de noisette

Un son de l'enfance, qui fait peur. Proche, désirable et interdit à la fois.

Le dégoût d'une enfance où la purge était le passage obligatoire avant la rentrée des classes

Le goût du-petit-crochet-vite-fait vers la boutique chinois en allant à l'école !

Le goût de la frugalité, à une époque pas si lointaine où les Hauts de La Réunion n'offrait guère plus que cela

A travers l'évocation du petit déjeuner péi, Thierry Jardinot se replonge dans une enfance faite de simplicité

Le goût des cérémonies, dans la chapelle malbar familiale

Le goût des escapades dans la nature, pourvoyeuse d'aventures et de gourmandises

Le goût de la rareté, des pêches en rivière en des temps si anciens qu'on les croiraient sortis des livres d'histoire...

Présenté par Anne BONNEAU

Présenté par Anne BONNEAU

Un parfum d'enfance au nom étrange et merveilleux : le petrichor

Caris, au pluriel ! Le goût d'une enfance avec une maman cordon-bleu, ça laisse des traces, et des exigences !

Un parfum d'enfance, un parfum de terre et de vert, dans les Hauts de la Réunion

Comment un plat aussi simple peut-il avoir perdu son goût d'antan ?

Le goût du nouvel an vietnamien, de la tradition et du partage

Le goût de la découverte de l'alimentation d'autres communautés : le propre de La Réunion

Un goût qui n'était pas courant à La Réunion, dans le tan lontan

Un dégoût de l'enfance, le rejet sans équivoque de tout ce qui est vert

Le goût des soirées d'hiver à la Martinique. Et beaucoup plus, la conscience de la prodigalité de la nature

Le goût de la fête, quand la fête s'invite tous les jours à la maison

Le goût classique des jours de fête à La Réunion

Le goût de la cuisine de grand-mère et du jardin-paradis qui l'accompagne.

Le meilleur goût au monde : des premières choses que l'on fait cuire soi-même, avec les cousins du même âge

Ce n'est pas un goût en particulier, mais l'adage d'une enfance aux tables généreuses : "c'est meilleur quand on partage"!

Le goût de la boisson la kour, toujours prête en cas de visiteurs à l'improviste

Le goût du minuscule, de la saveurs menue, des grapilles au creux de la main

C'est bel et bien un dégoût, pour un des fondamentaux de la cuisine réunionnaise ! Pas simple...

Le goût des fêtes à jamais disparues

Le goût du gâteau, toujours le même, que l'on réclame années après années pour son anniversaire

Une hérésie le samoussa fromage ? Croustillant, fondant, chaud, que demandez de plus ?

Acide, sucré et pimenté à la fois : en ouvrant un sachet, on le termine, obligé !

La délicieuse combinaison du gras, du doux, du croquant et du piment. Ek do ri !

Le goût de la liberté de vivre dans le sud sauvage de La Réunion, au bord de l'eau

Un parfum des petits matins chaleureux de l'enfance. Difficile de s'en affranchir.

Le goût des goûters d'étés brûlants à La Réunion

Le goût de l'autonomie, de la débrouillardise et des bandes de copains

Un goût très simple. Encore faut-il savoir le faire.

Un goût d'enfance peut-il vous faire retrouver votre âme d'enfant ? Il semblerait.

Le goût des Noëls d'autrefois à La Réunion

Un goût très doux, rythmant l'enfance de cet enfant de famille très nombreuse, mais lié à des souvenirs terrifiants.

Une odeur de l'enfance. Indescriptible et pourtant quotidienne

Le briani de la Réunionnaise Sarah, une "zarab" pur beurre ! (clarifié, le beurre !) Un souvenir qui lui colle à la peau depuis son enfance, et que cette cuisinière hors pair met un point d'honneur a réactiver chaque année que Dieu fait.

Le goût parfait du mélange sucre, beurre et épices. Un parfum qui attirait Yacine depuis très loin.

Le pique-nique en famille de Gisèle, avec les incontournables, dans une Provence aux plages désertes.

Même loin de sa Guadeloupe originelle, ses attributs vous colle aux basques ! Un goût de fête.

Le "gro manzé" de Thelma aux Seychelles, à une époque pas si lointaine, où le riz et les pâtes étaient des plats de riches.

Ce jeune architecte originaire de Lomé au Togo se souvient des plats donnés à la becquée par sa mère

Edwige, d'origine haïtienne, vous raconte une chasse au "cochon bois" en Guyane, et la saveur fumée de la viande qui lui est restée, depuis son enfance.

Le bâton mouroung de Sarah, la Réunionnaise : vous aurez reconnu le fruit du Moringa Oleifera, dont on fait grand cas dans les manuels de diététique aujourd’hui.

Le pinpin et le hanneton : cela pourrait être une fable, c'est le goût de l'enfance de Benoit !

Présenté par Anne BONNEAU

Le goût de la chasse et des rêves de Robinsonnade

Mais oui, il s'agit bien d'un goût de fête! Le goût d'un met venu d'ailleurs, exotique, servi sur les tables dominicaines en ville

On l'aime ou on le déteste, ce goût-là , qui s'annonce avec une odeur prononcée... Et vous, vous le trouvez comment ?

Ce cari au prix du caviar aujourd'hui, dont on faisait des ventrées lontan

Le goût du "canard"

Le goût de l'Eden, de la mer généreuse et inoffensive

Un goût d'enfance qui s'est transmis de génération en génération, toujours bien vivant à Tahiti

Le goût de l'ailleurs, des racines chinoises, transmis Tahiti par une aïeule essentielle

Une odeur d'enfance, réconfortante et évidente au fond du cirque de Salazie

Le goût de l'abondance mêlé à la sagesse. Un goût cueilli au jardin d'Eden, celui de grand-mère Avez-vous un tel jardin en mémoire ?

Le goût d'un plat "démodé"

Le goût du travail accompli, et des "mauvaises herbes"

Plus qu'un son ou qu'une odeur, un moment de l'enfance, obligé

Une odeur de l'enfance : le géranium, qu'on ne mangeait pas, mais qui aidait à manger

Le goût de l'improvisation, et de l'échange à Tahiti

Le parfum d'une enfance au bord de mer, qui infuse une perpétuelle envie de nature