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Eco Cités • Fréquence Terre - La Radio Nature

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Info environnement, musiques du monde, ambiance Nature

67 - Repenser la ville de demain, dès aujourd’hui ! (rediffusion)
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  • 67 - Repenser la ville de demain, dès aujourd’hui ! (rediffusion)

    Comment vivrons-nous dans 50 ans ? A quoi ressemblera notre environnement ? Comment seront organisées nos villes ?
    Ces questions autour de notre avenir immédiat n’ont jamais été aussi cruciales. L’explosion démographique que la planète a connue depuis plus de 50 ans a modifié durablement nos modes de vie et le visage de nos cités.
    Nous pourrions être près de 9 milliards d’individus sur terre en 2050. Les mégapoles se multiplient à travers le monde. Avec ces 12 millions d’habitants, Paris fait figure de petit poucet comparée à New York et ses 22 millions d’habitants, Mexico, 23 millions ou Tokyo avec 35 millions d’habitants.
    Et en 2050, plus du 1/3 de la population mondiale sera citadine. Ce qui n’ira pas sans poser de sérieux problèmes si nos modes de vie ne change pas radicalement.
    Il y a quelques mois, le site « M ta terre » publiait un dossier sur la question en imaginant ce que pourrait, ou devrait être la ville de demain.
    De manière didactique, le site, qui s’adresse volontairement aux enfants et aux ados, décrypte les enjeux  d’un développement maitrisé de nos villes et envisage les solutions pour faire face aux problèmes que pose cette explosion urbaine.Eau potable, transports, logements, gestion des déchets, pollution, accès aux soins et à l’éducation, autant de critères à intégrer pour permettre à tous de vivre dignement, et à la planète de respirer.
    Les urbanistes repensent ainsi les villes de manières plus écologiques, plus respectueuses de l’environnement et de ses habitants. Cela passe par une maitrise de l’étalement urbain qui est la règle depuis des décennies. En rognant sur les espaces agricoles, les villes se sont étendues et avec elles, tous les services et réseaux nécessaires : eau, gaz, électricité, transports, ou approvisionnement en denrées.
    Les espaces urbains ne doivent plus être pensés comme des rajouts d’éléments posés les uns après les autres, sans cohérence, mais étudiés comme un système global où les logements, les transports, les magasins, les services et les lieux de travail sont imbriqués pour limiter les déplacements, rationaliser les ressources, et favoriser les liens sociaux.
    Ce sont tous ces éco quartiers qui fleurissent un peu partout et qui tentent de répondre à cet impératif écologique et social.
    Le dossier de « M ta terre » explore aussi les questions d’énergie et de transports, en mettant l’accent sur le développement des pistes cyclables, les transports en commun, et l’auto partage. Les déplacements quotidiens devront se limiter en rapprochant, quand c’est possible, le travail du lieu d’habitation ou en développant le télétravail quand cela s’y prête.
    Coté alimentation, artisanat ou services, l’idée d’un retour aux producteurs et commerçants de proximité est l’un des  impératifs économiques et environnementaux.
    La place de la nature en ville est aussi primordiale, tout comme l’est l’implication du citoyen dans le développement de ces cités durables.
    Pour compléter et accompagner ce dossier, une BD est à découvrir en ligne. Autour de la question des déplacements en 2050, elle suggère 3 scénarios possibles pour le transport des hommes et des marchandises. Car dans l’optique de réduire de 3% par an nos émissions de CO2, comme s’y est engagée la France, c’est sur les transports que le plus gros effort doit être porté… 35% des émissions de CO2 sont dues à ces transports.
    Pour aller plus loin :

    * A quoi ressemblera la ville de demain ?
    * Comment bougerons-nous dans le futur

    Tue, 02 Feb 2016 - 3min
  • 66 - Les chemins de traverse de la santé

    Ils se sont tournés vers l’homéopathie, la méditation, l’étiopathie, la biokinergie ou l’hypnose. Par conviction ou parce que les techniques conventionnelles se sont avérées inefficaces, de plus en plus de français expérimentent ces médecines alternatives. Pour beaucoup, cette conversion leur ont fait déserter les cabinets médicaux classiques. Pour des maux dérangeant leur quotidien ou pour des pathologies plus lourdes, ils y trouvent un nouveau bien être qui leur avait longtemps fait défaut.
    L’Age de faire leur donne la parole dans son numéro de janvier 2015 et explore avec eux ces chemins de travers de la guérison.

    * Nicole Gellot est l’auteur ce dossier de rentrée du magazine.

    « On a choisi de solliciter les lecteurs pour qu’ils nous racontent leur parcours. Cela nous a permis de parler de ces thérapies alternatives au travers de l’histoire d’une personne. Cela nous permet de ne pas présenter ces thérapies comme LA solution mais de dire « à chaque personne sa solution ». Ce sont des gens pour qui les portes de la médecine se sont refermées. Comme cette femme qui a fait appel à l’étiopathie…. »
    Expériences du désert, médecine par les plantes, hypnose… pour beaucoup de français ces médecines alternatives peuvent paraitre relever de doux originaux… et pourtant les effets semblent être palpables, que ce soit pour des maux du quotidien ou des pathologies plus lourdes.
    « Il y a l’exemple de cette femme qui avait une sclérose en plaque. Dans l’approche du médecin qui l’a pris en charge, elle avait apprécié qu’ils prennent en compte son affect, son stress… tout l’aspect psychologique… Son recours à des thérapies alternatives l’enrichi dans son quotidien. Par ces témoignages, on ne préconise pas mais on insiste sur le fait que c’est à chacun son parcours. « 
    A découvrir encore dans ce numéro la question des personnes électro sensibles qui vivent une vraie souffrance dans un univers entouré de technologie sans fils… Nicole Gellot a interviewé Marc Khanne, le réalisateur du documentaire « Cherche zone blanche désespérément » qui met en lumière la situation d’urgence vécue par ces personnes. Le documentaire est à voir ce samedi 17 janvier à 22h sur la chaine Public Sénat.
    L’Age de faire revient aussi dans ce numéro de janvier sur le jeu de dupes des enquêtes publiques… Sivens, Roybon ou Notre Dames des Landes ont mis en exergues les failles de ces procédures qui montrent les limites de l’exercice démocratique.
    Enfin le journal se fait le relais d’un dossier de Bastamagsur la communication écolo de la Poste qui met en avant sa fameuse lettre verte… une lettre qui s’avère être une aberration écologique et un formidable outil de marketting et de casse sociale.
    Pour aller plus loin:

    * L’Age de faire – janvier 2015
    * L’écologie selon la Poste, par Bastamag

    [youtube]http://youtu.be/pRPzWd3uaCM[/youtube]

    Thu, 15 Jan 2015 - 3min
  • 65 - Des cadeaux citoyens

    Les fêtes approchent et les cadeaux sont normalement déjà bien avancés.
    Mais si vous n’avez pas encore tout, s’il vous manque des idées pour un parent ou un ami, alors pourquoi ne pas offrir quelque chose qui pourra lui faire découvrir des initiatives qui changent le monde ? Voici donc quelques idées de « cadeaux citoyens »
     
    Commençons par ce livre d’Emmanuel Daniel, « Le Tour de France des alternatives ».
    Pendant 6 mois, le jeune journaliste a entrepris un tour de France à la rencontre des utopies concrètes. Du monde de l’entreprise, à la santé, en passant par l’éducation, l’alimentation, ou la vie démocratique locale, Emmanuel Daniel a observé les expériences citoyennes qui font prendre conscience qu’il est possible d’œuvrer pour un autre modèle de société.
    Monnaies locales, banques villageoises, entreprises coopératives, parcs éoliens citoyens ou habitats groupés, autant de domaines où ces révolutionnaires de l’ombre œuvrent pour changer la vie quotidienne ou pour transformer la ville.
    Par leurs initiatives ils ont pris conscience que l’on est capable de mener ensemble des projets citoyens. Des initiatives qui ont profondément transformé les personnes qui s’y sont investi.
     

    * « Le Tour de France des alternatives » le carnet de route d’Emmanuel Daniel, est publié au Seuil.

     
     
     
    D’autres rencontres, d’autres initiatives, avec « Ils changent le monde : 1001 initiatives de transition écologiques », de Rob Hopkins.
     
    Le fondateur du mouvement de la transition explique dans ce livre pourquoi il faut passer à l’action et comment. A travers des histoires d’actions locales réussies – jardins partagés, supermarché coopératif, coopérative électrique ou monnaies locales – Rob Hopkins donne à découvrir la transition et apprend à s’organiser pour vivre mieux au lieu de chercher à avoir plus.

    * « Ils changent le monde : 1001 initiatives de transition écologiques », de Rob Hopkins, est publié au Seuil.

     
     
     
     
     
    Dans « Les Défricheurs », Eric Dupin nous propose également des rencontres avec ceux qui expérimentent et inventent dans les domaines social et écologique.
     
    Ils ont choisi de vivre en rupture de la société où la consommation reste la valeur dominante. Et s’ils se sont détachés du consumérisme, ces défricheurs n’en restent pas au simple rejet d’un monde. Ils tentent d’inventer de nouvelles façons de vivre, d’expérimenter d’autres manières de produire.
    Au-delà d’un simple catalogue d’initiatives, le journaliste s’interroge sur le sens des utopies présentées et si les multiples actions locales peuvent préfigurer un changement plus large de la société.

    * « Les Défricheurs », d’Eric Dupin, est publié aux Editions La Découverte.

     
     
     
     
     
     
    Sortir du dogme de la croissance, c’est aussi le fil directeur du film « Sacré Croissance » de Marie-Dominique Robin.
    La réalisatrice a parcouru 3 continents durant 2 ans pour recueillir les témoignages de ceux qui construisent un autre monde fondé sur le toujours mieux. Dans ce film, elle détaille la genèse des initiatives locales qui montrent la voie vers une société plus équitable.
    Les héros locaux rencontrés démontrent concrètement que l’on peut se défaire du dogme de la croissance. Un dogme décortiqué par des économistes, des sociologues ou des philosophes qui expliquent en quoi ces initiatives de terrain incarnent la transition écologique et économique.
     
    « Sacré Croissance » se décline aussi dans un livre où Marie-Dominique Robin prend le parti de se situer en 2034. Elle imagine que grâce à un étonnant sursaut collectif survenu le 14 avril 2014, après la publication du cinquième rapport du Groupe d’experts intergouver...

    Thu, 18 Dec 2014 - 3min
  • 64 - Le repas, tout un monde ! (avec « l’Age de Faire »)

    « Le repas, c’est tout un monde ! » A l’approche des fêtes de Noël, « L’Age de faire« , le journal des initiatives locales qui changent le monde, nous propose dans son numéro de décembre de nous mettre autour de la table et d’explorer les différentes manières de vivre ce temps du repas.
    Moment de convivialité ou simple temps nécessaire à notre alimentation, le repas se vit différemment selon les origines, le milieu social, ou la période de l’année.
    De la soupe populaire au repas pédagogique sur les richesses du monde, les approches explorées dans le journal interrogent sur les manières d’appréhender cette convivialité.
    Lisa Giachino est la rédactrice en chef de l’Age de Faire.
    « On a voulu voir quels sens pouvaient être mis dans le repas. On a mis en avant des initiatives qui vont plus loin dans la création de convivialité… Il y a une association qui organise des soupes populaires à partir de produits bio et locaux dans la rue (La Marmite à roulettes à Pezenas, dans l’Héraut), un village qui a créé un banquet pour les touristes qui draine tous les habitants du coin… On parle aussi de récupération, ou de jeunes qui organisent des repas avec les légumes cultivés dans leur potager… Il s’agit de réfléchir à ce que l’on mange et comment on le mange, et comment faire pour que le repas soit un temps rencontre. »
    [dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x1a1wdo_pezenas-soupe-populaire-avec-la-marmite-a-roulettes_news#from=embediframe[/dailymotion]
    Temps de partage ou remède contre le repli sur soi, le repas peut aussi être pédagogique et donner à réfléchir sur la répartition des richesses mondiales. Et c’est une association étudiante qui a conçu ce « Repas insolent« .
    Lisa Giachino.
    « C’est un jeu de rôle. L’idée, c’est que les participants se répartissent selon les différents continents. Chaque groupe a à sa disposition de la nourriture qui correspond à la part que chaque continent a aujourd’hui dans la répartition des richesses mondiales. L’enjeu est de savoir si tout le monde aura à manger suffisamment. La pédagogie y prend tout son sens. »
    A coté de ce spécial repas, le journal s’attarde sur une association, « Les invités au Festin« , qui vient en soutien aux personnes en souffrance psychiques.
     
    « Cette association organise des repas avec des personnes qui sortent de séjours en établissements psychiatriques et des personnes de l’extérieur. L’idée est de se réunir pour partager un repas au-delà des situations de chacun. Un lieu de vie a aussi été créé à Besançon… Un lieu où vivent des personnes qui souffrent de troubles psychiques, avec des accompagnants de façon très conviviale. On est au-delà de la simple relation de soin. »
    L’Age de Faire revient aussi sur le dossier du barrage de Sivens et sur les moyens financiers débloqués pour assurer la sécurité du site et faire régner l’ordre autour du chantier. On a vu avec quelle efficacité cela a été mis en œuvre. Un décryptage à lire sous la plume de Nicolas Bérard dans ce numéro de décembre de l’Age de Faire.
     
    L’Age de Faire qui poursuit sa campagne d’abonnement nécessaire pour pérenniser l’aventure. Pour rejoindre les lecteurs de ce journal qui réinvente le monde, rendez-vous sur le site du journal.
     
     
     
     
     
     
     
    Pour aller plus loin :

    Thu, 11 Dec 2014 - 3min
  • 63 - Le Calendrier de l’Avent du développement durable 2014

    A quelques semaines de Noël, beaucoup de familles affichent dans leur salon un calendrier de l’Avent, dont la vocation chrétienne initiale était de faire patienter les enfants en leur offrant chaque jour une image. Au fil du temps, ce sont des friandises que ces enfants ont pu découvrir au quotidien. Certains, plus favorisés, y trouvent même des jouets.
    Loin de ces conceptions religieuses ou mercantiles, une alternative est possible en alliant tradition de Noël et sensibilisation à l’environnement.
    C’est le canton de Genève, en Suisse, qui a mis en œuvre il y a déjà 14 ans, un calendrier de l’Avent du développement durable. Les fins d’années étant souvent le temps des bilans et réflexions avant l’année nouvelle, ce calendrier propose un voyage de l’Avent à travers le développement durable, en montrant chaque jour un exemple de bonne pratique locale.
    24 fenêtres, ouvertes sur la durabilité, décortiquent une des bonnes pratiques, qui peut porter autant sur une réflexion autour de la consommation responsable, que sur les actions d’une association ou d’une ONG pour renforcer par exemple la solidarité entre personnes valides et personnes handicapées. 24 coups de projecteurs qui permettent à tous d’acquérir de nouvelles connaissances pour un comportement éco-responsable.
    L’édition 2014 de ce calendrier a pour thématique l’Année Internationale des Sols, qui démarre le 1er janvier 2015. Initiée par l’Assemblée générale de l’ONU, cette Année Internationale vise à accroître la sensibilisation et la compréhension de l’importance des sols pour assurer la sécurité alimentaire et permettre à l’écosystème de remplir ses fonctions essentielles.
    Le calendrier fait donc sien cet objectif. A partir de la ressource qu’est le sol, il propose un parcours à travers l’agriculture écologique, la durabilité des systèmes d’alimentation jusqu’au gaspillage alimentaire. Le commerce équitable, le changement climatique, les stratégies d’efficacité énergétique ainsi que les avancées dans le domaine du recyclage sont d’autres thèmes importants de cette édition 2014.
    Interactif, le calendrier s’ouvre aussi à des tchats avec des experts et des personnalités engagées qui permettront d’approfondir les thèmes du calendrier. Ainsi, le 8 décembre aura lieu un échange avec des délégués présents à la Conférence de l’ONU sur le Climat qui se tient à Lima, au Pérou, jusqu’au 12 décembre.
    Publié en 5 langues, le calendrier n’est pas que pédagogique. Il est aussi ludique à travers un quiz quotidien permettant de gagner des cadeaux durables.
    Le canton de Genève, promoteur de ce calendrier de l’Avent, a également publié un Guide des achats professionnels responsables, un ouvrage de référence qui vise à sensibiliser les acteurs des domaines public et privé au développement durable.
    Enfin le canton a institué, en 2002, un concours annuel visant à promouvoir les initiatives émanant de la société civile en matière de développement durable. Les projets ou réalisations doivent contribuer à favoriser un juste équilibre entre efficacité économique, solidarité sociale, et responsabilité écologique, pour Genève ou sa région. L’édition 2015 du concours est ouverte… Les inscriptions sont à faire avant le 31 janvier 2015.
     
    Pour aller plus loin :

    * Le Calendrier de l’Avent pour le développement durable
    * Le Guide des achats professionnels responsables
    * Bourse du développement durable de Genève
    * Année Internationale des Sols
    * Conférence de l’ONU sur le Climat

    [youtube]http://youtu.be/b8v27rQTl0k[/youtube]

    Thu, 04 Dec 2014 - 3min
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