Filtrar por género

L'Essentiel des Parents

L'Essentiel des Parents

L'Essentiel des Parents

Le podcast des parents libres et joyeux ou qui tentent de l’être !

9 - Idée repas : le Miam-ô-Fruits
0:00 / 0:00
1x
  • 9 - Idée repas : le Miam-ô-Fruits

    Vous aussi vous rêvez d’un plat riche et complet qui contient toutes les bonnes choses (nutriments et vitamines) dont le corps à besoin ? D’un plat qui soit délicieux et simple à préparer ?



    Une idée de repas complet : un plaisir gustatif sans précédant



    Je vous invite aujourd’hui à préparer ensemble un plat qui s’appelle le miam-ô-fruits. Issu de La Méthode de France Guillain, ce repas est complet et exquis et constitue le repas de la journée en plus du miam-ô-5 (légumes).



    Le podcast à écouter :







    J’ai totalement adopté la méthode et en particulier cette recette du miam-ô-fruit quand j’étais étudiante. Depuis que ma fille peut manger sans mon assistance je le prépare plus souvent et (la joie de la transmission !) je partage la recette à ma fille ce qui en fait un petit-déjeuner ou un brunch d’enfer.







    Les bienfaits du miam-ô-fruits



    Ce repas est idéale pour les femmes enceintes et allaitantes et toute la famille pour une alimentation saine, variée et équilibrée.



    Ce plat répond à tous les critères :



    * vous avez vos « 5 fruits » du jour dans ce plat* de la très bonne huile* des protéines avec les oléagineux (noix, amandes, graines de courge, de tournesol etc.)* du citron



    Et ses bienfaits sont sans compter :



    * un plaisir gustatif énorme* un plaisir sensoriel et idéal pour les enfants de tout âge, de toucher les fruits, d’en avoir le jus qui coule sur les doigts, toutes ces couleurs et ces textures* c’est LE plat qui donne l’eau à la bouche* un moment présent* une activité ludique* et dans les bienfaits encore plus pratiques :* ça vous remet le transit en ordre (pour ceux que le charme de discret de l’intestin intéresse et l’univers du microbiote)* satiété atteinte (si vous mastiquer, c’est-à-dire si vous prenez le temps de mâcher et insaliver)* de l’énergie pour 4 heures sans fringale (toujours si vous avez bien pris le temps de mastiquer)



    De plus, France Guillain répond de manière complète à toutes les questions que vous pourriez vous poser comme « je n’aime pas la banane » ou « peut-on changer d’huile » ou encore « c’est trop sucré, non ? ».



    Recette du repas miam-ô-fruit



    Dans le podcast, nous préparons ensemble le miam-ô-fruits. C’est comme un atelier. Vous préparez vos ingrédients et ustensiles, vous mettez vos écouteurs et c’est parti !







    Voici la liste des ustensiles à préparer :



    * une assiette* un couteau pour les fruits* une fourchette pour écraser la banane* deux cuillers à soupe (une pour l’huile, l’autre pour les graines broyées)



    et la liste des ingrédients :



    * un mélange équilibré de graines de sésame et graines de lin broyées (au moulin à café) – 2 c.s.* une huile de colza bio de qualité, première pression à froid – 2 c.s.* un demi citron jaune bio – 2 c.s (pas du jus en bouteille, bien un citron que vous pressez)* une demie banane* des oléagineux (noix, noix de pécan, noix de cajou, noisettes, amandes, graines de chia, de courge, de tournesol…) au moins 3 différents* 3 fruits minimum de votre choix en plus de la ...
    Tue, 16 Mar 2021 - 30min
  • 8 - Gestion de crise avec mon enfant

    Un podcast explosif qui viendra vous aidez au quotidien





    Notre 6′ podcast de notre défi, 6/30 jours







    J’ai souhaité traiter un sujet qui me semble important. La
    gestion de crise !



    Nous verrons la différence entre le stress et une émotion,
    petit crochet sur la colère, comment éviter une crise et  ce qu’il faut faire en cas de crise.



    Dans ma vie professionnelle et personnelle, j’y ai été
    confronté de nombreuses fois, dans la vie de tous les jours, les disputes qui
    dégénères, les réactions émotionnelles incontrôlables, durant certaines
    interventions de police à l’époque où j’y étais c’était assez fréquent et
    aujourd’hui dans le secteur du social aussi !



     J’ai été formé à
    gérer certaines situations de crises mais celles qui nous intéressent
    aujourd’hui ce sont celles de nos petits bouts !



    Vous voyez les crises où on est complétement perdu, démunie
    face à ce flot émotionnelles dévastateur. Celles qui nous remue les tripes et
    ou par moment nous aussi on finit par exploser de rage…



    L’idée c’est de vous donner des explications et des conseils
    en cas de tsunami émotionnel !



    Alors je vous invite à écouter le podcast que j’ai fait sur
    les émotions, ce qui est étroitement lié au sujet d’aujourd’hui.



    Ce que nous prenons pour des émotions, souvent il s’agit de
    réaction d’adaptation, l’expression de besoins biologiques ! Ce que nous
    prenons pour des émotions ne le sont finalement pas. Le corps s’adapte aux
    stimulations provoqué par l’environnement et génère ce que l’on peut appeler un
    stress. Ce stress étant provoqué par les hormones déclenché par l’amygdale etc…



    Avec nos enfants, il faut faire la distinction entre un
    stress et une émotion.



    Est-ce une réaction à la frustration ? Est-ce que c’est
    de la colère ?



    Isabelle Filliozat la dit à de nombreuses reprises que la colère était une émotion qui répare, qui vient justement favoriser le bon développement de notre enfant ! si l’enfant se révolte de cette manière c’est magnifique ! Bon que dans la théorie… car dans la pratique ce n’est pas la même !



    Paradoxalement il faut leurs permettre d’être en
    colère !



    Finalement notre grand rôle la dedans est de favoriser cette
    réparation. En acceptant la révolte de son enfant, en l’aidant à exprimer ce
    que lui ressent comme une attaque.



    Isabelle Filliozat nous explique qu’un enfant qui est devant un dessin animé a le cerveau qui se met en onde alpha, hypnotisé en quelque sorte, ce qu’il voit à l’écran stimule le noyau accumbens responsable du circuit du plaisir et de la récompense (bref les addictions). Son cerveau sécrète des opioïdes, si nous coupons brutalement la télé, il y a une chute de ses opioïdes, ça déclenche le circuit de la douleur ! ils ressentent une vraie douleur.



    Du coup si on remet une couche avec notre propre colère, le
    cocktail chute d’opioïdes et gros stress font disjoncter notre enfant.



    Il vaut mieux Eviter la crise de rage que de la gérer !




    J’en profite pour vous rappeler qu’il ne faut pas d’écran
    avant l’âge de 3 ans (les spécialistes insistent sur ce point).



    Il faut simplement ne pas le laisser se faire hypnotiser par
    Tue, 19 Nov 2019 - 10min
  • 7 - Traumatismes et parentalité

    Ce podcast viendra vous parler des traumatismes et de leurs conséquences. Je parlerai également brièvement du concept de résilience et de ce qui vient la favoriser. Bonne lecture ou bonne écoute 🙂





    Notre 5′ podcast de notre défi, 5/30 jours







    Le trauma c’est le choc et le traumatisme c’est la conséquence de ce choc !



    Il en existe 2 majeurs !



    l’événement traumatisant provoquant un trouble de stress post traumatique  (accidents en tout genre, catastrophes, pertes soudaines…) ou le traumatisme complexe : qui est souvent associé aux traumatismes prolongés et répétés. (Maltraitances, négligences, perturbation de l’attachement…).



    Pour expliquer simplement : C’est une réaction émotive
    qui persiste… qui nous colle à la peau dont on a beaucoup de mal à se séparer…



    Ça nous handicap fortement dans le sens ou cela vient
    compromettre notre sécurité intérieur, notre construction identitaire et la
    régulation de nos émotions. Ce qui irrémédiablement vient complexifier notre
    relation et notre rapport à l’autre.



    Le plus fréquent et ce qui nous pèse le plus ce sont toutes
    les peurs qui y sont associés avec parfois un sentiment de honte, d’impuissance
    et parfois de colère.



    Je ne vais parler ici que de ce que je connais pour éviter
    de m’éparpiller et d’expliquer des choses que je ne connais pas vraiment…



    Finalement ce qui nous intéresse ici, c’est comment s’en
    sortir ? Comment arrêter de souffrir ? Comment  arrêter de lutter avec nous-même et avec la
    vie ?



    Je ne peux pas ne pas vous parler de résilience ! Le
    premier vulgarisateur de ce concept c’est Boris Cyrulnik !



    La résilience il n’y a pas plus simple comme
    définition : c’est la reprise d’un nouveau développement après un
    traumatisme.



    Qu’est ce qui vient favoriser cette résilience ?



    La sécurisation, la relance, les relations et la culture.



    Il faut savoir que l’entourage joue un énorme rôle dans la
    résilience non seulement une fois qu’un traumatisme est survenu mais aussi dans
    le fait de lui avoir donné la possibilité de pouvoir « résister » à
    un malheur qui survient.



    En fonction de l’individu, il peut y avoir un traumatisme ou
    non. C’est aussi une question de sensibilité.



    Pour qu’un enfant soit résilient, le point essentiel c’est
    ‘la sécurisation’ mais pas seulement, il faut sécuriser sa mère.  Car si la mère est sécurisée pendant la
    grossesse, elle le transmettra sans le vouloir à son enfant.



    Une fois que le bébé naît, il lui faut une niche sensorielle
    favorable, structuré par la mère principalement et part une autre personne (le
    papa, la grand-mère, les métiers de la petite enfance, le foyer familial…)



    Quand cet ensemble sécurise le bébé, une fois arrivé à l’école, il a déjà acquis le plaisir d’apprendre…. Il y aura des stress mais théoriquement il le vivra plutôt bien.Boris Cyrulnik



    Ce qui nous intéresse c’est si l’enfant  a été vulnérabilisé, à causes de divers
    paramètres tels que la mère a subis des stresses, quand la niches sensorielle
    n’est pas favorable et que la sécurisation n’est pas présente. Ce qui est le
    plus récurrent ce sont les violences conjugales et la précarité sociale qui se
    fait de plus en plus souvent.


    Tue, 12 Nov 2019 - 8min
  • 6 - Mon histoire, ma résilience.

    Un récit authentique et sans tabous.



    L’amour, le pardon, l’acceptation et la gratitude transcendent les blessures et les traumatismes. 



    Je n’ai aucune difficulté à partager avec vous quelques éléments de ma vie puisque ça fait déjà un bon bout de temps que je travaille intérieurement, ce qui a favorisé la résilience. 🙂



    Notre 3° podcast, que vous pouvez télécharger pour l’écouter HORS LIGNE Mon Histoire, ma Résilience.





    Notre 3° podcast, de notre défi 3/30 Jours, Mon Histoire, ma Résilience.







    Mon histoire, ma résilience. 



    Bonjour à toutes et à tous, c’est Fabien de l’essentiel des parents. Aujourd’hui, j’ai souhaité vous raconter mon histoire de vie, mon parcours afin que vous me connaissiez d’avantage. Car il y a un beau message de résilience et d’encourageant. 



    Il est probable que certaines et certains d’entre vous, pourrons faire la parallèle avec leur propre histoire de vie. 



    Je vais essayer de donner une structure chronologique à fin que tout cela soit le plus logique possible. J’ai synthétisé le plus possible pour éviter que le podcast fasse 8 heures. Après si vous voulez tous les détails de ma vie, ce n’est pas impossible mais je ne suis pas sûr que ce soit très utile à part pour dresser un portrait psychologique et déterminer si je suis une personne à suivre ou pas lol  !  



    J’ai passé les 6 premières années en région parisienne avec mes parents et ma grande sœur. Cette période riche en évènements à selon moi été déterminante concernant l’individu que je suis aujourd’hui. La petite enfance joue un rôle majeur dans la construction d’un individu mais il n’y a pas que ça. Je vais vous racontez m’a toute première expérience. Je mesure quelques centimètres et voilà que mon aventure commence ! L’alchimie entre un spermatozoïde un ovule est venu créer la plus belle merveille du monde et encore très complexe à expliquer. Non pas MOI mais un être humain. 



    Nous sommes dans une banlieue, à Balencour, dans un appartement. D’après la médecine, ma maman ne devait plus avoir d’enfant mais j’ai tout de même voulu pointer le bout de mon nez. 



    D’après le peu d’informations que j’ai, ma maman aurait subis deux fausses couches qui l’ont beaucoup affectée, le contexte social était plutôt difficile, les conflits étaient fréquents, mon père n’était pas vraiment présent et ma maman a fini par faire une dépression.



    J’aimerai souligner que l’information de la dépression, je l’ai eu par ma kinésiologue, et suite à un questionnement un peu insistant, j’ai fini par avoir la confirmation avec ma mère. Elle m’a ajouté, qu’elle était extrêmement stressée et que ce n’a pas été période simple. Car mes parents ont eux aussi un lourd passé, avec leurs lots de blessures et traumatismes. D’ailleurs nous portons le fardeau de nombreuses générations. Ils ont été au mieux de ce qu’ils pouvaient et j’ai beaucoup d’affection et d’amour pour eux. 



    Je grandi dans ce cadre familial, puis à l’âge de 3-4 ans je me suis mis à faire ce que l’on appel des spasmes du sanglot… suite à une frustration, je ne savais pas traiter correctement l’information au niveau de mon cerveau, je tombais dans les pommes de rage à presque ne plus pouvoir respirer. Je menais la vie dure à mes parents. On sait aujourd’hui avec l’imagerie cérébrale, que le stress, les peurs, les dépressions pendant la grossesse affecte le fœtus, ils peuvent engendrer des troubles cognitifs, des difficultés au niveau cérébrale. Je pense que ça a été mon cas.  



    C’était tellement intense que j’ai dû voir quelqu...
    Fri, 08 Nov 2019
  • 5 - Les émotions de nos enfants sous toutes les formes

    Conseils, infos, témoignages et exercices. Vous trouverez dans ce podcast une multitudes de choses qui vous permettront de mieux comprendre la façon dont les émotions fonctionnent.



    Faut-il laisser pleurer bébé ? Que se passe t-il au niveau de son cerveau ? Comment faire pour améliorer les choses ? etc…













    L’émotion vient du latin « ex-movere » qui signifie mouvement vers l’extérieur.



    C’est une sensation interne qui donne des informations sur une situation et qui va vers l’extérieur. L’émotion est influencée par les pensées (interprétations et observations) et est filtré par les expériences.



    Les émotions chez l’enfant sont essentielles, car elles donnent des informations sur l’environnement qui l’entoure.



    IL y a deux groupes d’émotion : Les émotions primaires, qui elles sont automatiques, reflexes et étroitement liées aux états du corps. Paul Ekman en se basant sur les expressions du visage en dénombre 6 : la peur, la colère, la tristesse, le dégoût, la joie et la surprise. Seul la surprise est double (Bonne surprise ou mauvaises surprise).



    Ensuite les émotions secondaires, plus complexes et là le corps n’est pas toujours mobilisé.  Lié à la maturation cérébrale et font appel à des processus cognitifs élaborés. Elles seraient liées à l’image de soi et à l’estime de soi.



    Le mécanisme d’une émotion chez l’enfant se déroule en 6 phases :



    * J’observe une situation * J’interprète cette situation * Je ressens des sensations physiques* Je ressens l’émotion* Verbalisation ou non de l’émotion* Passage à l’action ou pas.



    Il est parfois difficile de considérer à quel point les émotions de nos enfants sont primordiales et aussi celles qui sont désagréables, pour pouvoir y faire face.  



    Il est important de prendre en considération que les émotions sont liées à des changements physique et physiologique comme l’activation et la modification des amygdales, des glandes endocrines, sécrétion plus ou moins importantes d’hormones.



    Tout n’est pas sous le contrôle de la volonté, chaque enfant n’a pas la même sensibilité sur les plans physiologique et hormonales. La gestion des émotions est aussi grandement liée  à la maturation du système nerveux et cérébral.



    Au départ tout est ressenti, la réflexion ne vient qu’après un certain temps. Quand vous voyez un enfant crier et pleurer, ce n’est pas forcément le reflet d’une mauvaise gestion de ses émotions, mais elle est lié à l’immaturité du développement de certaines aires et connections cérébrales.



     Par moment nous nous
    sentons démuni face aux émotions de nos petits bouts.



    Qu’est-ce que vient favoriser le bon développement des émotions ?



    1°) les émotions sont en lien avec le développement langagier. Les émotions doivent aller vers l’extérieur et donc plus l’enfant grandi plus il est en mesure de pouvoir identifier, exprimer et comprendre les choses. Ça  lui permet de vivre correctement ses émotions.



    D’ailleurs apprendre le langage des signes à son bébé, lui permettrai de s’exprimer plus tôt et donc aura très certainement un impact sur la gestion de ses émotions. Je rappe qu’actuellement notre bébé à 9 mois et nous essayons de lui apprendre quelques signes qu’il reproduit sans forcément y mettre de sens mais ça va venir.



    2°) La sécurité, le lien d’attachement que vous allez créer avec votre enfant dès la naissance va lui donner la possibilité d’expérimenter la vie avec un sentiment de confiance et de sécurité ce qui viendra favoriser son au...
    Wed, 06 Nov 2019 - 19min
Mostrar más episodios