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L'info s'éclaire

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France Télévisions

Dans "L"info s'éclaire", Axel de Tarlé décrypte, en compagnie de journalistes de France Télévisions et d'experts, l'actualité du jour en France ou dans le monde, à travers des reportages et des analyses de la rédaction.


Ce débat, réalisé en direct sur un thème précis de l'actualité politique, sociale, économique ou culturelle, permet aux quatre invités, spécialistes du sujet, de partager leurs analyses et au public de comprendre l'information dans sa globalité.


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516 - Le vote, base de note démocratie - 03 mai 2024
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  • 516 - Le vote, base de note démocratie - 03 mai 2024

    Invités : Emmanuel Rivière, politologue, directeur associé de l’agence Grand Public et vice-président de la maison de l’Europe Jean Garrigues, historien, président du comité d’histoire parlementaire et politique. Théo Verdier, co-directeur de l’Observatoire Europe à la Fondation Jean Jaurès Le compte à rebours a commencé. Pour pouvoir voter le 9 juin prochain lors des élections européennes, les Français n’ont plus que quelques heures pour s'inscrire sur les listes électorales. En effet, 16,5% des électeurs sont « mal inscrits », souvent suite à un changement d’adresse ou pour des raisons matérielles. « On n’accorde pas assez d’importance au fait d’aller voter pour surmonter un certain nombre de contraintes », explique Emmanuel Rivière. Qui sont les plus concernés ? Les jeunes (18-24 ans) mais aussi les catégories socio-professionnelles plus populaires, souvent désenchantés de la politique. Ces électeurs représentent un potentiel réservoir de voix pour les partis politiques. « Beaucoup d’électeurs estiment que ces élections ne changeront rien à leur vie », décrypte Théo Verdier. Ce désengagement peut s’expliquer par plusieurs facteurs : la méconnaissance des institutions européennes, le manque de notoriété des candidats, l’euro-scepticisme et le manque de pédagogie. Autant d’éléments à combattre pour réconcilier les Français avec cette élection. Pour l’heure, le Rassemblement national, porté par Jordan Bardella, caracole loin en tête des sondages. Le leader du RN veut faire de cette élection un « référendum anti-Macron ».

    Fri, 03 May 2024 - 1h 25min
  • 515 - Européennes, la majorité peut-elle enrayer la chute ? - 02 mai 2024

    Nos invités : - Guillaume Daret, chef adjoint du service politique - Hadrien Brachet, journaliste au service politique de Marianne - Stéphane Zumsteeg, directeur du département Politique et Opinion d’IPSOS La gauche est de retour ! À cinq semaines des Européennes, Raphaël Glucksmann se rapproche de la candidate macroniste, Valérie Hayer tandis que Jordan Bardella semble inarrêtable. En effet, la tête de liste du Rassemblement National monte à 32% dans les sondages, bien loin devant la majorité. Lors du défilé du 1er mai à Saint-Étienne, le député européen et candidat du Parti socialiste, Raphaël Glucksmann, a été pris pour cible par des militants communistes avant d’être exfiltré de la manifestation. Un événement que sanctionne fermement Louis Deffontaines, tête de liste PCF aux élections européennes. Violemment chahuté pour son positionnement trop timide sur le conflit israélo-palestinien, et contraint de quitter le cortège, Raphaël Glucksmann accuse La France Insoumise. En tête dans les sondages à gauche, la tête de liste socialiste est depuis plusieurs semaines dans le viseur des Insoumis. De son côté, Jean-Luc Mélenchon réfute ces accusations tout en condamnant l’agression de son adversaire politique. Deux gauches irréconciliables qui se tirent la couverture pendant que le RN, lui, gagne du terrain. La droite comme l’extrême droite compte bien tirer parti de cet incident. De Jordan Bardella au Premier ministre, Gabriel Attal, ce débordement dépasse les frontières de la gauche et fait réagir toute la classe politique. La cause palestinienne est-elle en train de casser et de cliver la gauche ? La majorité peut-elle faire la bascule ? La réponse avec nos invités.

    Thu, 02 May 2024 - 1h 24min
  • 514 - Travail, la grande fatigue ? - 1er mai 2024

    Nos invités : - Céline Antonin, économiste à l’OFCE, spécialiste du marché du travail - Emmanuel Duteil, directeur de la rédaction de l’Usine Nouvelle - Bernard Vivier, directeur de l’Institut supérieur du Travail, spécialiste du dialogue social Les Français sont-ils moins impliqués au travail ? C’est la question soulevée en ce 1er mai, jour de la Fête du travail. En effet, plus d’un Français sur 10 dit préférer gagner moins mais avoir plus de temps libre. Pour remettre la France au turbin et atteindre le plein emploi, le gouvernement a promis de durcir les règles d’indemnisation des chômeurs à partir du 1er juillet. Et il pourrait décider d’augmenter le délai de carence en cas de licenciement ou de rupture conventionnelle. Cette piste est sérieusement étudiée par l’exécutif. Ce qui a de quoi susciter l’inquiétude des Français, y compris de ceux qui entreprennent une reconversion. Aujourd’hui, le salarié licencié a le droit à une prime minimum légale de la part de son employeur à laquelle peut s’ajouter une prime supplémentaire. Ceux qui en bénéficient touchent les allocations chômage plus tard, entre un et six mois d’attente. Avec la réforme, cela pourrait s’allonger à huit mois ou même davantage. Cette piste particulièrement glissante a été évoquée par la ministre du Travail, Catherine Vautrin, selon la patronne de la CGT qui s’y oppose. « Ce qu’on aura gagné d’une main en forçant le patron a donné plus en indemnités de licenciement, le gouvernement nous le reprend de l’autre avec des allocations chômage qui prendront plus longtemps à arriver. C’est totalement injuste » explique Sophie Binet. Quel serait l’intérêt d’un tel dispositif pour le gouvernement ? Avec 515 ruptures conventionnelles et 896 000 licenciements rien que l’année dernière, la mesure présenterait un gain immédiat pour les caisses de l’État. Pour l’instant, rien n’est encore acté selon le gouvernement. La nouvelle réforme doit entrer en vigueur dès le 1er juillet prochain. Alors, à quoi s’atten

    Wed, 01 May 2024 - 1h 24min
  • 513 - La Palestine enflamme Science Po et LFI - 30 avril 2024

    Nos invités : - Gilles Bornstein, éditorialiste politique - Jannick Alimi, éditorialiste politique - Frédéric Dabi, directeur général Opinion de l’IFOP Face aux occupations pro-palestiniennes, Valérie Pécresse suspend les financements de la région Ile-de-France à Sciences Po. De leur côté, Mathilde Panot et Rima Hassan, membres de la France insoumise, sont convoquées ce matin par la police pour « apologie du terrorisme ». En signe de contestation, la France insoumise appelle à un rassemblement porte de Clichy. En plateau, nos invités débattent : s’agit-il d’une procédure visant à criminaliser l’accusation de génocide, comme le clament Mathilde Panot et Manuel Bompart, ou d’une « simple » procédure suivant le cours normal de la justice à la suite de la plainte d’organisations juives, comme l’a jugé Rima Hassan ? S’il s’agit en premier lieu de ne pas aller trop vite et de laisser la procédure aller à son terme, Jannick Alimi clame en tout cas qu’il est « presque insensé » de parler de « procédure bâillon » comme les membres Insoumis le font, dans la mesure où Rima Hassan jouit d’un long temps de parole sur plusieurs chaînes de télévision depuis le début de cette procédure. Que pensent les Français de cette affaire ? Frédéric Dabi indique qu’à quelques semaines des élections européennes, ils attendent surtout que les clans politiques parlent d’enjeux européens. Il existe, depuis le conflit israélo-palestinien, un acteur réprouvé dans l’opinion publique : Jean-Luc Mélenchon. 81% des interrogés se déclarent mécontents des déclarations et prises de position du président des Insoumis sur le sujet.

    Tue, 30 Apr 2024 - 1h 25min
  • 512 - dette, primes JO… les économies attendront ! - 29 avril 2024
    Mon, 29 Apr 2024 - 1h 24min
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