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C dans l'air

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France Télévisions

Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

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3679 - Trump/ Poutine : un appel... et un accord ? - Vos questions sms -
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  • 3679 - Trump/ Poutine : un appel... et un accord ? - Vos questions sms -

    C dans l'air du 18 mars 2025 - Trump/ Poutine : un appel... et un accord ?Les experts :- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Patrick DUTARTRE - Général de l’armée de l’Air et de l’Espace, ancien pilote de chasse- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales chez Synopia 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Tue, 18 Mar 2025 - 04min
  • 3678 - Trump/ Poutine : un appel... et un accord ? - L'intégrale -

    C dans l'air du 18 mars 2025 - Trump/ Poutine : un appel... et un accord ?Un coup de fil très attendu. Le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine doivent échanger au téléphone ce mardi après-midi pour discuter d’une "normalisation" des relations entre les deux pays et sans doute sceller le sort de l’Ukraine. Il s’agit de la deuxième conversation officielle entre les deux chefs d’Etat, après celle du 12 février qui avait marqué le début du réchauffement des relations entre les Etats-Unis et la Russie. Donald Trump qui se targue d’avoir une relation privilégiée avec Vladimir Poutine va-t-il le convaincre d’accepter un cessez-le-feu de 30 jours ? A quelles conditions ? Le président américain est resté vague évoquant des "partages de certains avoirs ", dont des "terres" et des "usines de production d’énergie". De son côté le Kremlin a émis jusqu’à présent des revendications maximalistes pour cesser les hostilités, dont la cession par l’Ukraine de cinq régions annexées par Moscou, l’abandon des ambitions de Kiev de rejoindre l’Otan, le démantèlement du pouvoir ukrainien en place. Des conditions rejetées par Kiev qui appelle la Russie à accepter un cessez-le-feu "sans conditions" et demande des garanties de sécurité de la part de ses alliés occidentaux pour garantir une éventuelle trêve. Après trois ans de guerre, l’avenir de l’Ukraine va-t-il se jouer sur un coup de fil ?Sur le front, la Russie accentue la pression et ne donne pas l’impression de vouloir la paix. C’est ce qu’a déclaré Emmanuel Macron ce week-end. Le président de la République poursuit dans les médias son offensive pour convaincre le pays de la réalité de la menace russe, protéiforme, malgré les critiques sur son alarmisme, alors qu’en Allemagne le probable futur chancelier s’est exprimé devant le Parlement avant le vote d’un plan de réarmement. La «guerre contre l’Europe» menée par la Russie rend nécessaire ces investissements géants, notamment militaires, a affirmé Friedrich Merz. "C’est en effet une guerre contre l’Europe, et pas seulement une guerre contre l’intégrité territoriale de l’Ukraine", a-t-il ajouté. "La manipulation et l’interférence des informations constituent une menace majeure pour la sécurité de l’UE", a alerté de son côté la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas. "Nous ne devons pas sous-estimer le pouvoir que tout cela a sur nous, ni les intentions de leurs auteurs".Parallèlement à son offensive militaire en Ukraine, la Russie est accusée par les Occidentaux de mener une guerre hybride à leur encontre. Au-delà du champ de bataille, la guerre devient alors informationnelle, cybernétique, économique ou diplomatique. Il s’agit par exemple de tirer parti des tensions culturelles, sociales ou politiques qui scindent la société adverse. En première ligne face à la Russie, l’Estonie a vu se multiplier, ces dernières années, les cas de guerre électronique et d’ingérence. Pour le pays, l’exemple le plus marquant reste celui de 2007. Après avoir annoncé qu’une statue datant de l’occupation soviétique serait déplacée, le gouvernement a fait face à une cyberattaque de grande envergure, étalée sur 22 jours. Les sites d’agences gouvernementales, de banques, de plusieurs journaux ainsi que celui du Parlement ont été visés par des attaques qui ont rendu ces sites inaccessibles en les inondant de requêtes artificielles. Depuis cette date, les attaques n’ont jamais cessé et le pays d’1,4 million d’habitants est devenu l’un des leaders mondiaux en matière de cyber défense et de la lutte contre les fakenews. Frontalier de la Russie, l’Estonie est désormais l'un des pays de l'OTAN qui investit le plus dans sa défense. Elle y consacre 3,4 % du PIB depuis l'année dernière et entend passer à plus de 5 % de son PIB à partir de 2026. "Avec la Russie, nous avons un délai de trois à cinq ans" a expliqué le ministre des Affaires étrangères estonien qui appelle à des mesures concrètes contre le Kremlin.Parallèlement au Proche-Orient, la trêve a pris fin à Gaza. Au moins 410 personnes sont mortes, dont le chef du gouvernement du Hamas, selon le ministère de la santé sur place, dans des frappes israéliennes menées cette nuit. Israël accuse le Hamas de refuser de libérer les otages. "Je peux confirmer que la reprise des combats intenses s’est faite en totale coordination avec Washington", a affirmé le porte-parole du gouvernement israélien. Après avoir suspendu les livraisons de l’aide humanitaire, il y a seize jours, coupé la dernière ligne électrique qui alimente la principale usine de dessalement d'eau du territoire il y a une semaine, l’Etat hébreu frappe de nouveau brutalement l’enclave palestinienne. Le Hamas, de son côté, a averti que ces bombardements mettaient en péril le sort des otages et a estimé que Benjamin Netanyahu utilisait la guerre à des fins politiques. Le Premier ministre israélien devait comparaître ce mardi dans trois affaires de corruption. L’audience a été annulée.Les experts :- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Patrick DUTARTRE - Général de l’armée de l’Air et de l’Espace, ancien pilote de chasse- Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- Joséphine STARON - Directrice des études et des relations internationales chez Synopia PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/ 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. 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    Tue, 18 Mar 2025 - 1h 04min
  • 3677 - Bernard-Henri Lévy - Poutine veut-il la paix?

    C dans l'air l'invité du 17 mars 2025 : Bernard-Henri Lévy, philosophe et écrivain, auteur dernièrement de "Nuit blanche" publié aux éditions Grasset.Le président américain a indiqué dans la nuit qu’il échangerait mardi 18 mars avec son homologue russe des solutions visant à trouver une issue à la guerre en Ukraine. Un sujet à l'ordre du jour du Conseil des affaires étrangères qui se tient ce lundi à Bruxelles.La Russie a confirmé ce l’appel téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, soit le deuxième entretien entre les deux hommes depuis le retour du républicain à la Maison Blanche en janvier. "Oui, c'est bien le cas. Une telle discussion est en préparation pour mardi", a répondu aux journalistes Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin, lundi 17 mars. Il n'a pas livré davantage de détails, notamment sur les thèmes qui seront évoqués. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Tue, 18 Mar 2025 - 10min
  • 3676 - La paix simple comme un coup de fil ? - Vos questions sms -

    C dans l'air du 17 mars 2025 - Trump - Poutine : la paix simple comme un coup de fil ?Les experts :- GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS - Ancien chef d’état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l’OTAN- GALLAGHER FENWICK - Editorialiste, auteur de Volodymyr Zelensky : l’Ukraine dans le sang- MELISSA BELL - Journaliste - Correspondante à Paris pour CNN - CLARA MARCHAUD - Correspondante en Ukraine 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Mon, 17 Mar 2025 - 06min
  • 3675 - Trump - Poutine : la paix simple comme un coup de fil ? - L'intégrale -

    C dans l'air du 17 mars 2025 - Trump - Poutine : la paix simple comme un coup de fil ?De retour à Washington dans l'avion présidentiel Air Force One, Donald Trump a fait savoir aux journalistes présents à bord qu'il s'entretiendra ce mardi 18 mars avec son homologue russe, Vladimir Poutine. Il sera question de partages de terres et de centrales énergétiques a fait savoir le président américain. Donald Trump espère convaincre le président russe d'approuver un plan de trêve de 30 jours accepté la semaine dernière par Kiev. Le Kremlin a confirmé ce lundi que les deux dirigeants se parleront au téléphone ce mardi mais pas les détails de cette conversation. Le président russe Vladimir Poutine avait déclaré la semaine dernière que Moscou soutenait, sur le principe, une trêve dans le conflit avec Kiev, tout en suggérant que le projet de Washington devait être remanié.Ces échanges entre les États-Unis et la Russie préoccupent les Européens, qui craignent un accord aux dépens de la sécurité du continent et multiplient les réunions sur la défense. Samedi, lors d'un sommet virtuel organisé par Londres, une trentaine de dirigeants d'États et d'organisations soutenant l'Ukraine ont décidé d'exercer une "pression collective" sur la Russie, qu'ils soupçonnent de vouloir poursuivre la guerre. "La balle est dans le camp de la Russie" qui "devra tôt ou tard […] s'engager dans des discussions sérieuses", avait lancé le Premier ministre britannique Keir Starmer, selon lequel Vladimir Poutine "est celui qui essaie de retarder" les choses, avec nombre de conditions. Emmanuel Macron qui recevait ce lundi son homologue canadien a rappelé que la France et la Canada étaient des "puissances de paix" et des "alliés fiables" qui continueront à exiger de la Russie des "engagements clairs" pour une "paix durable" en Ukraine et la "sécurité de l'Europe toute entière".Dans un entretien à la presse quotidienne régionale, le chef de l’Etat a également dévoilé ses intentions sur les suites de la guerre en Ukraine et la mobilisation de la société. Emmanuel Macron qui ne croit pas à la volonté des Russes de faire la paix, continue à travailler avec ses partenaires européens pour obtenir des garanties de sécurité en cas de cessez-le-feu, et à organiser la défense du continent. Il a notamment incité les fabricants français à produire davantage et indiqué qu’il annoncera une "grande refonte" du SNU, mais pas de service militaire obligatoire qui "n’est pas une option réaliste", ni "un schéma opérant". Nos journalistes sont allés à la rencontre des jeunes français qui décident de s’engager dans l’armée et qui sont actuellement en formation militaire.Pendant ce temps, en Ukraine, Volodymyr Zelensky a remplacé le chef de l’état-major des forces ukrainiennes, Anatoly Barguylevytch, par Andriï Gnatov, alors que l'armée russe continue de gagner du terrain dans la région de Koursk. Kiev comptait utiliser le contrôle de ce territoire frontalier russe comme monnaie d'échange lors de possibles négociations avec Moscou. Le président ukrainien a également désigné ce week-end une équipe de négociateurs pour de possibles pourparlers de paix, tout en affirmant ne pas faire confiance à la Russie pour l’appliquer eu égard au passé. Dans le pays, tout le monde a encore en tête le mémorandum de Budapest, censé garantir l’intégrité de l’Ukraine. Signé en 1994, cet accord diplomatique engage les États-Unis, le Royaume-Uni et la Russie à respecter l’indépendance de l’Ukraine, en échange du retrait de l’arme atomique de son territoire. Troisième puissance nucléaire mondiale à l’époque, l’Ukraine a accepté de transférer à Moscou l’armement nucléaire soviétique en sa possession. Une décision qu’elle regrette désormais amèrement.Les experts :- GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS - Ancien chef d’état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l’OTAN- GALLAGHER FENWICK - Editorialiste, auteur de Volodymyr Zelensky : l’Ukraine dans le sang- MELISSA BELL - Journaliste - Correspondante à Paris pour CNN - CLARA MARCHAUD - Correspondante en Ukraine 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Mon, 17 Mar 2025 - 1h 03min
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