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52-62, mon enfance en Algérie

52-62, mon enfance en Algérie

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René, 67 ans, raconte à sa fille Nina ses années 52-62, ses années algériennes, celles de l'enfance et de la guerre. En cinq épisodes, il fait appel à ses sens pour se souvenir de ce que ses yeux d’enfant ont vu, de ce que son nez sentait, de ce qu’il mangeait et ne mange plus, de ce que ses mains saisissaient pour jouer, de ce que son corps ressentait sous le soleil oranais, les langues mêlées qu’il entendait au marché, les bruits sourds des armes et, parfois, des larmes. «52-62, mon enfance en Algérie», un podcast Slate Podcasts par Nina Pareja.

6 - Le toucher: «Ma mère nous pinçait les joues pour vérifier qu'on était toujours vivants»
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  • 6 - Le toucher: «Ma mère nous pinçait les joues pour vérifier qu'on était toujours vivants»

    René, 67 ans, a toujours collectionné des œuvres d'art ou des petits objets puis il s'est créé un petit musée personnel. Des petites œuvres, des jouets, des babioles qui lui rappellent l’Algérie, ce qu'il aurait aimé pouvoir ramener dans sa petite valise à l'heure du départ en juillet 1962 mais qu'il a dû laisser là-bas.

    Aujourd'hui, il raconte à sa fille Nina ses années 52-62, ses années algériennes, celles de l'enfance et de la guerre. En cinq épisodes, il fait appel à ses sens pour se souvenir de ce que ses yeux d’enfant ont vu, de ce que son nez sentait, de ce qu’il mangeait et ne mange plus, de ce que ses mains saisissaient pour jouer, de ce que son corps ressentait sous le soleil oranais, les langues mêlées qu’il entendait au marché, les bruits sourds des armes et, parfois, des larmes. Après un premier épisode consacré à l'ouïe, un deuxième à l'odorat, un troisième au goût, un quatrième à la vue, ce cinquième et dernier épisode est dédié au toucher.

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    Musique: «I don't want to do this without you (Saeptem 52/62 Cut)», Late Night Feeler

    Mon, 21 Oct 2019 - 21min
  • 5 - La vue: «Cette nuit-là, j'ai détesté ce qu'on appelle l'armée française»

    La mer, le soleil brûlant, les figuiers, les paysages, les visages, les mirages sur la route. Parmi les images de l'Algérie, il y a les jolies cartes postales. Mais aussi la vision de la guerre. Les uniformes qui débarquent à la maison en pleine nuit. Les corps qui tombent.

    René, 67 ans, raconte à sa fille Nina ses années 52-62, ses années algériennes, celles de l'enfance et de la guerre. En cinq épisodes, il fait appel à ses sens pour se souvenir de ce que ses yeux d’enfant ont vu, de ce que son nez sentait, de ce qu’il mangeait et ne mange plus, de ce que ses mains saisissaient pour jouer, de ce que son corps ressentait sous le soleil oranais, les langues mêlées qu’il entendait au marché, les bruits sourds des armes et, parfois, des larmes. Après un premier épisode consacré à l'ouïe, un deuxième à l'odorat et un troisième au goût, ce quatrième et avant-dernier est dédié à la vue.

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    Musique: «I don't want to do this without you (Saeptem 52/62 Cut)», Late Night Feeler

    Tue, 15 Oct 2019 - 21min
  • 4 - Le goût: «On a partagé une bouteille d’Orangina, c’était bien»

    Les galettes de la vieille voisine. Le piment, les épices, les escargots à la sauce piquante, la rate farcie, l'Orangina… Et puis, évidemment, la cuisine de sa mère. Quels goûts restent, cinquante-sept ans après le départ d'Algérie? Quels souvenirs de la guerre portent-ils?

    René, 67 ans, raconte à sa fille Nina ses années 52-62, ses années algériennes, celles de l'enfance et de la guerre. En cinq épisodes, il fait appel à ses sens pour se souvenir de ce que ses yeux d’enfant ont vu, de ce que son nez sentait, de ce qu’il mangeait et ne mange plus, de ce que ses mains saisissaient pour jouer, de ce que son corps ressentait sous le soleil oranais, les langues mêlées qu’il entendait au marché, les bruits sourds des armes et, parfois, des larmes. Après un premier épisode consacré à l'ouïe et un deuxième à l'odorat, le troisième est dédié au goût.

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    Musique: «I don't want to do this without you (Saeptem 52/62 Cut)», Late Night Feeler

    Tue, 08 Oct 2019 - 19min
  • 3 - L'odorat: «Jouer dans les égouts pour apprendre à survivre»

    Que sent un pays en guerre? Quels souvenirs emporte-t-on de son enfance en Algérie, quand on a dû la quitter à l'âge de 10 ans? Pourquoi, au milieu du parfum des figuiers, des sardines grillées et des oranges, se souvient-on aussi de l'odeur du pétrole et de celles des égouts?

    René, 67 ans, raconte à sa fille Nina ses années 52-62, ses années algériennes, celles de l'enfance et de la guerre. En cinq épisodes, il fait appel à ses sens pour se souvenir de ce que ses yeux d’enfant ont vu, de ce que son nez sentait, de ce qu’il mangeait et ne mange plus, de ce que ses mains saisissaient pour jouer, de ce que son corps ressentait sous le soleil oranais, les langues mêlées qu’il entendait au marché, les bruits sourds des armes et, parfois, des larmes. Après un premier épisode consacré à l'ouïe, le deuxième est dédié à l'odorat.

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    Musique: «I don't want to do this without you (Saeptem 52/62 Cut)», Late Night Feeler

    Tue, 01 Oct 2019 - 15min
  • 2 - L'ouïe: «De tous côtés on n'entend plus que ça, des coups de canon, des coups de bazooka»

    René, 67 ans, raconte à sa fille Nina ses années 52-62, ses années algériennes, celles de l'enfance et de la guerre. En cinq épisodes, il fait appel à ses sens pour se souvenir de ce que ses yeux d’enfant ont vu, de ce que son nez sentait, de ce qu’il mangeait et ne mange plus, de ce que ses mains saisissaient pour jouer, de ce que son corps ressentait sous le soleil oranais, les langues mêlées qu’il entendait au marché, les bruits sourds des armes et, parfois, des larmes.

    Les sons de l'Algérie, ceux des gens, de la vie, de la rue, de la guerre, les chansons et les souvenirs : ce premier épisode de 52-62, mon enfance en Algérie est consacré à l'ouïe.

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    Musique: «I don't want to do this without you (Saeptem 52/62 Cut)», Late Night Feeler

    Tue, 24 Sep 2019 - 22min
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