La revue de presse de Paul Arcand

À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur les émeutes à Los Angeles.

«Donald Trump aimerait ça que ça pète, que les affrontements soient violents, que des gens soient blessés et que ça vienne justifier la présence des militaires. Or, ce n’est pas ça qui se passe en réalité…»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente les actions de Donald Trump en marge du chaos qui s'est installé dans une partie de Los Angeles où des manifestations monstres ont lieu pour dénoncer la politique migratoire des républicains.

Un total de 4700 militaires ont été déployés par le président américain.

«Trump se présente en sauveur de Los Angeles, affirme Paul Arcand. Sans lui, il ne se gêne pas pour le dire, la ville serait à feu et à sang. [...] Sa stratégie est simple: il déploie les soldats et les marines, même si personne ne lui demande [...] et se pointe en disant: "Je vais vous régler ça."»

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À l'occasion de sa revue de presse mardi, Paul Arcand fait le point sur la grève des employés d'entretien de la STM qui se poursuit aujourd'hui sous la pluie.

«Il n'y a pas de service en soirée jusqu'à 23 heures dans une ville comme Montréal, ça n'a aucun sens, affirmePaul Arcand. Les négociations sont dans un cul-de-sac [...] Beaucoup de confusion, de frustration. Les gens ne savent pas trop pourquoi il y a une grève. Certains comprennent les revendications, mais disent que c'est emmerdant.»

«C'est sûr que c'est une négociation qui sera dure, qui sera tough [...] Et même si la grève est prévue pour quelques jours, qu'il y a une parenthèse pour le Grand Prix de F1, d'autres syndicats sont en colère et faut s'attendre à d'autres perturbations...»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand aborde la grève des employés d'entretien de la Société de transport de Montréal.

Dès aujourd'hui et jusqu'à mercredi, le service d'autobus et de métro sera chamboulé avec des passages uniquement aux heures de pointe, forçant les usagers à se tourner vers d'autres moyens de se déplacer, comme le transport actif, les taxis ou la voiture.

«Le problème, c'est que ça risque de dégénérer. Pourquoi? Parce qu'il n'y a pas juste les employés d'entretien qui sont prêts à faire la grève. Les chauffeurs d'autobus sont prêts aussi à quitter le travail et d'autres employés de la STM sont prêts à débrayer. Donc, des négociations difficiles et moi, j'ai l'impression que la rentrée de septembre risque d'être mouvementée.»

Le service sera également réduit les 12, 16 et 17 juin avec un retour à la normale le temps du Grand Prix de Formule 1 à Montréal. 

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente la récente saga entre le président américain Donald Trump et le milliardaire Elon Musk. 

Les deux hommes ont multiplié les attaques personnelles jeudi sur leur réseau social respectif après que le patron de Tesla ait critiqué le mégaprojet de loi budgétaire de l'administration Trump.

Elon Musk a notamment accusé le président d'être ingrat et a déclaré qu'il n'aurait jamais gagné les élections sans son aide. Donald Trump l'a par la suite menacé de mettre fin aux contrats accordés à ses sociétés, ce à quoi le milliardaire a répliqué en affirmant que le nom du président américain figurait dans les dossiers Epstein.

«On sent un malaise. Elon Musk grafigne Donald avec son projet de loi budgétaire. Le narcissique n'aime pas ça, il commence à bouillir, à perdre patience. Et puis jeudi, ça explose, c'est le divorce sur la place publique entre l'homme le plus riche de la planète et l'homme le plus puissant au monde.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand réagit aux informations de La Presse selon lesquelles les travaux de la commission Gallant, qui visent à faire la lumière sur le fiasco SAAQclic, pourraient être prolongés.

«La commission Gallant a besoin de plus de temps pour retourner toutes les pierres du scandale SAAQclic,affirme Paul Arcand. C'est pire que ce que l'on pensait. Chaque jour, chaque témoin, est une démonstration de l'insouciance, de l'incompétence voire même de la magouille.»

«Par exemple, on a appris hier que la SAAQ n'avait pas pensé à la possibilité d'un dépassement de coûts. Non, les consultants et les fonfons n'avaient pas pensé à ça. Pourtant, l'histoire du Québec est garnie de dérapages budgétaires spectaculaires.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit à la décision du président américain Donald Trump d'imposer des droits de douane de 50% sur l’acier et l'aluminium.

«Le monarque a doublé les tarifs sur l'acier et l'aluminium. Ça va durer combien de temps, c'est la grande question? [...] Quel est l'impact sur l'industrie et les travailleurs? Est-ce qu'il y aura des mises à pied? Tous s'entendent pour dire que c'est impossible d'absorber un tarif de 50%. L'autre question c'est: est-ce que les Américains peuvent vraiment se priver de notre acier et de notre aluminium?»

« Monsieur Trump prétend que c'est au nom de la sécurité nationale et que, de toute façon, il n'a pas besoin des produits canadiens. Or, les gens de l'industrie, ici, nous disent que c'est à peu près 20% de ce que les Américains consomment qui sont produits aux États-Unis. Donc, plus de 70% de l'importation vient du Canada. Donc c'est pas vrai qu'ils sont autosuffisants  [...] Est-ce une crampe temporaire ou un geste permanent?»

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde les découvertes de la Commission Gallant sur SAAQclic qui représente, selon lui, un immense scandale qui dure depuis des années.

«C'est pire que tout ce qu'on avait imaginé. Je me demande si les révélations ne sont pas plus assommantes que ce qu'on avait appris lors des travaux de la Commission Charbonneau. [...] On a flambé plus d'un milliard pour une cochonnerie, pour un produit qui fonctionne tout croche. [...] Au moins, Monsieur Trottoir, Monsieur Milioto, faisait des trottoirs de qualité. Au moins, Tony Accurso faisait des travaux de qualité. Il était "on time" et "on budget" comme il disait à la commission.»

Paul Arcand explique avec un brin d'ironie qu'au moins, lors du scandale de la construction: «on a payé cher, mais au moins ça fonctionnait», alors que dans le cas de la SAAQ, on a eu droit à un naufrage complet. Il ne mâche d'ailleurs pas ses mots à l'endroit du conseil d'administration.

Il se demande aussi pourquoi l'UPAC ne réactive pas ses enquêtes à propos de ce fiasco.

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente la situation dans la bande de Gaza où de nouvelles frappes de l'armée israélienne ont entraîné la mort d'au moins 31 civils à Rafah.

Les autorités palestiniennes affirment que les victimes se dirigeaient vers un centre américain de distribution d'aide alimentaire.

Les projectiles ont été tirés vers la foule depuis des drones et des chars, selon l'AFP.

«Les bombes, la famine, Israël continue sa stratégie meurtrière  [...] On sait que depuis deux mois, Israël a encore une fois augmenté la pression, resserré l'étau de l'acheminement de la bouffe, de médicaments et des biens de première nécessité. C'est une guerre qui ne finit plus. On prétend parler de paix, mais c'est toujours l'affrontement.»

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À l’occasion de sa revue de presse en remplacement de Paul Arcand, vendredi matin, Valérie Lebeuf aborde l’adoption du projet de loi 89 pour limiter le droit de grève par Québec, malgré l'opposition du milieu syndical.

Le gouvernement peut désormais intervenir pour mettre fin à des conflits de travail qui affecteraient selon lui de manière disproportionnée la population en imposant l’arbitrage des conditions de travail.

«Selon lui, il y a une culture de militantisme au Québec et ça a des conséquences et ça génère des discussions aux tables de négociation, des discussions qui sont intenses également.»

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À l’occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Valérie Lebeuf aborde la décision d’un tribunal américain qui empêche maintenant le président Donald Trump d'imposer la majeure partie de ses tarifs douaniers à l’international.

Le Tribunal de commerce international des États-Unis met ainsi un frein à la guerre commerciale du président américain, ce qui ouvre la voie à une bataille juridique sur le sujet.

«Le Tribunal de commerce international des États-Unis à New York estime que seul le congrès a le pouvoir de réguler le commerce international.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi matin, en remplacement de Paul Arcand, Valérie Lebeuf aborde l'absence d'entente entre l'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec (l'APCHQ) et l'Alliance syndicale, alors qu'un premier jour de grève a été déclenché depuis minuit dans la construction résidentielle.

Elle explique que les ententes dans les autres secteurs de la construction comprennent des augmentations de salaire de 22% sur quatre ans.

Les offres actuelles tourneraient actuellement autour de 18% pour ces employés.

«L'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec indique que si l'impasse devait persister, elle demande donc à l'Alliance d'accepter rapidement l'offre d'aller en médiation-arbitrage afin d'avoir une résolution rapide du conflit»,explique Valérie Lebeuf. 

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À l'occasion de sa revue de presse en remplacement de Paul Arcand, mardi matin, Valérie Lebeuf aborde le dossier des négociations dans le domaine de la construction résidentielle.

Selon ce que rapporte le Journal de Montréal, l'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec (APCHQ) aurait déposé une nouvelle offre majorée à l'Alliance syndicale de la construction afin de dénouer l'impasse.

L'Alliance, qui regroupe cinq syndicats de l'industrie, menace de déclencher la grève dès demain si aucune entente n'est conclue.

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À l'occasion de sa revue de presse lundi matin, en remplacement de Paul Arcand, Valérie Lebeuf parle notamment des médecins de famille québécois dans la soixantaine qui songent à devancer leur retraite si le gouvernement adopte son projet de loi 106, pour lier la rémunération à leur performance.

Selon le quotidien Le Devoir, pour ces professionnels qui ont allégé leur pratique, soit à cause de soucis physiques ou par besoin de ralentir le rythme en fin de carrière, cette réforme envoie un message clair: leur contribution «n’a plus de valeur».

«Le ministre Christian Dubé, sur les ondes de RDI, a reconnu que la grande majorité des médecins travaillent beaucoup, mais que si on donne moins d'argent à ceux qui en font moins, on va avoir plus d'argent pour ceux qui en font plus. Mais, cet objectif d'accès au soin pourrait être mis en péril si des médecins plus âgés décident de mettre fin à leur carrière plus tôt que prévu.»

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À l'occasion de la revue de presse en l'absence de Paul Arcand, vendredi, Valérie Lebeuf fait le point sur les négociations entre Postes Canada et le Syndicat des travailleurs des postes.

Jugeant les offres patronales insuffisantes, le syndicat demande depuis minuit vendredi à ses 55 000 membres de refuser d'effectuer des heures supplémentaires à l'échelle nationale.

Postes Canada avertit ainsi la clientèle que des retards pourraient être constatés.

À l'heure actuelle, il n'y a donc ni grève tournante ni arrêt de travail.

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À l'occasion de sa revue de presse en l'absence de Paul Arcand, jeudi, Valérie Lebeuf traite d'un sujet pour le moins particulier: le rationnement des Kleenex au CHUM.

C'est sous la plume de Patrick Lagacé, chroniqueur à La Presse et animateur au 98.5, qu'on apprend qu'il y a effectivement «eu des coupes dans la distribution de papier-mouchoir dans certains secteurs de l’hôpital».

Deux médecins de l'établissement montréalais se sont confiés à notre collègue et lui ont confirmé qu'ils utilisaient maintenant du papier hygiénique, ou du papier brun. Bref, ils n'ont plus accès aux boîtes de Kleenex. Pas idéal, surtout quand ils doivent annoncer de mauvaises nouvelles, comme un cancer, à leurs patients...

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À l'occasion de sa revue de presse en l'absence de Paul Arcand, mercredi matin, Valérie Lebeuf aborde les nombreuses pressions internationales sur Israël alors que l'aide est grandement insuffisante à Gaza.

Elle soutient que selon l'ONU, l'aide actuelle ne représente qu'une goutte d'eau dans l'océan, tel que rapporté par le quotidien La Presse.

«C'est aussi ce que font valoir d'autres grandes organisations humanitaires, notamment OXFAM, qui avait souligné jeudi dernier qu'au point où en est Gaza, le fait de saupoudrer de la farine sur le territoire, bien tout ça n'est pas suffisant!»

La journaliste souligne que de nouveaux raids destructeurs et meurtriers ont eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi sur le territoire palestinien.

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À l'occasion de la revue de presse, mardi, Valérie Lebeuf, en remplacement de Paul Arcand pour les deux prochaines semaines, fait le point sur les 700 millions de dollars de fonds publics qui ont servi à financer des organismes religieux à l'étranger, tel que rapporté par La Presse.

«Au Canada, 12% des transferts à l'étranger servent à l'avancement de la religion et 9% à celui de l'éducation. Et quand on se demande où va l'argent, ce sont les Américains qui sont les principaux bénéficiaires des fonds religieux qui viennent du Canada, soit 434 millions de dollars depuis maintenant cinq ans.»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente les propos du premier ministre François Legault qui a déclaré, pour une deuxième journée de suite, vouloir rester au pouvoir encore cinq ans.

«Parlez à Isabelle, mon épouse, elle ne veut pas me revoir à la maison avant 2030!» a déclaré le chef de la CAQ, jeudi, lors des assises de l'Union des municipalités du Québec (UMQ).

M. Legault avait tenu des propos semblables mercredi après la publication d'un sondage très défavorable pour son parti.

«Là, il veut dire à ses troupes qu'il est là, qu'il est le père fondateur et qu'il reste à la tête du gouvernement. Les aspirants, tenez-vous tranquilles. Il l'a dit car il y a quand même des petits grognements à l'interne [...] Ce n'est pas une rébellion comme ce fut le cas avec Justin Trudeau, mais certains députés sont mécontents [...] Ça commence doucement [...] mais M. Legault va avoir beaucoup de pression [...] Il a une pression à l'interne.»- Paul Arcand

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand revient sur l'histoire d'une jeune femme déficiente intellectuelle qui a passé huit jours en prison pour avoir volé de la nourriture.

Âgée de 24 ans, Florence est atteinte du syndrome de Prader-Willi, une maladie génétique rare qui provoque une sensation de faim constante.

«Elle vit avec sa mère, mais il arrive un moment où sa mère n'est plus capable de s'en occuper. Elle est aussi accompagnée par les services sociaux. On lui trouve une place dans une ressource intermédiaire. Très rapidement, la personne responsable de cette ressource dit que c'est trop complexe [...] Conclusion: ça ne fonctionne pas et on s'entête à ne pas l'envoyer dans une ressource plus adaptée à ses besoins.»

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À l'occasion de sa revue de presse, Paul Arcand analyse les résultats d'un nouveau sondage Léger-Le Journal de Montréal publié mercredi.

La CAQ se retrouve en 3e place dans les intentions de vote avec un maigre 20% d'appuis, un point de moins que le Parti libéral (21%). Les deux formations sont loin derrière le Parti québécois qui est au sommet de ce coup de sonde avec 33% des appuis.

«Les Québécois veulent changer de gouvernement. C'est la grande conclusion du sondage. C'est assez clair comme message [...] Le premier constat, c'est que la CAQ a fait son temps. C'est l'usure du pouvoir. Les Québécois sont tannés de la CAQ. On peut penser aux coupures en santé, au troisième lien, à la saga de Maisonneuve-Rosemont. Les exemples sont assez nombreux [...] Est-ce que François Legault va demeurer chef du parti? Il a dit, il y a quelques jours, qu'il voulait un troisième mandat. Justin Trudeau disait aussi la même chose...»

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la grande visite de Donald Trump dans les pays du golfe Persique.

En quête d'investissements importants pour les États-Unis, notamment en termes de vente d'armes et d'intelligence artificielle, le président américain est arrivé en Arabie Saoudite mardi pour y rencontrer le prince héritier Mohammed ben Salmane.

«Trump a été accueilli par le prince, un bon dictateur comme il les aime. [...] Donald Trump est très heureux [...] C'est la grande tournée des États du Golfe.»

Le président américain doit par la suite se rendre au Qatar - où il devrait recevoir un avion luxueux d'une valeur de 400 millions de dollars - et dans les Émirats arabes unis.

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⦁    Gérard Depardieu coupable d’agression sexuelle;
⦁    Une chirurgie à la colonne vertébrale a été annulée cinq fois... Et le patient attend encore;
⦁    Assermentation des ministres de Mark Carney ce mardi.

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi matin, Paul Arcand aborde les nombreuses annulations de chirurgie à la dernière minute chaque jour au Québec.

Alors que les patients attendent souvent depuis longtemps qu'on leur offre une plage horaire d'opération et qu'ils doivent ensuite s'assurer de prendre congé pour y prendre part, bien souvent, lorsque le moment prévu arrive, ils se font dire que la chirurgie est reportée au lendemain ou à une autre date - à quelques minutes de l'opération. Une situation compréhensible lorsqu'il y a une urgence, mais incompréhensible quand cela se produit quotidiennement partout dans le réseau de la santé.

Mais à qui est-ce la faute?

«Je ne blâme pas les infirmières qui ne veulent pas faire de temps supplémentaire [...] Le gouvernement fixe des objectifs, alors qu'il n'est même pas capable de respecter ses propres objectifs... pas capable d'organiser des chirurgies à l'hôpital. C'est à qui la faute? Plusieurs sont responsables...»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand commente l'élection d'un nouveau pape à la tête de l'Église catholique.

Robert Francis Prevost, natif de Chicago, a été élu jeudi au deuxième jour du conclave. Il a choisi le nom de Léon XIV.

Il est le tout premier souverain pontife d'origine américaine.

«Ce qu'on va devoir surveiller, c'est Donald Trump, qui a vu un Américain devenir pape. L'équilibre va se faire comment? À quelle heure l'accrochage? Une cohabitation qui ne se fera pas facile. Parce que soyons francs, Donald, ce n'est pas un pieux, pas quelqu'un de très pratiquant [...] La grande question, c'est à quel moment va-t-il attaquer le pape de front?»

«Pourquoi? Parce que sur la question de l'immigration, le pape, alors qu'il était cardinal, a partagé sur les réseaux sociaux certains messages qui attaquaient directement la politique de Trump [...] C'est sûr qu'il va y avoir une forme d'accrochage entre Trump et le pape sur les politiques d'immigration.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente l'affrontement qui a lieu entre les médecins et le gouvernement Legault.

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, déposera jeudi un projet de loi qui forcera les médecins à prendre plus de Québécois en charge. 

«Le premier ministre a décidé de jeter les gants [...] Je suis un peu tanné de cette partie de ping-pong entre les médecins et le gouvernement. Je comprends qu'il y a une négociation, mais sérieux ça fait dur. On vous regarde aller et ce n'est pas très encourageant de voir qu'on ne trouve pas de terrain d'entente. Je comprends qu'il y a beaucoup d'argent en jeu, mais quand même.»

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⦁    Tarifs douaniers: Donald Trump s'entend avec les Britanniques;
⦁    SAAQclic est toujours en panne;
⦁    Le Québec et son parc jurassique d’infrastructures.

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Dans sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand est revenu sur la rencontre entre le premier ministre canadien Mark Carney et le président américain Donald Trump, qui s’est tenue mardi dans le Bureau ovale à Washington.

«La journée commence avec une bonne dose d'intimidation,affirme Paul Arcand.Le narcissique envoie un premier message sur son réseau social alors que M. Carney fait route vers la Maison-Blanche. [...] Tout change dans le Bureau ovale et l'image est extrêmement forte: Mark Carney a une attitude de banquier, en contrôle de ses émotions, même si on le sent un peu nerveux...»

Durant la discussion, Trump a relancé son idée de faire du Canada le 51e État américain. 

Carney a alors répliqué, parlant à l'homme d’affaires qu'est Trump: certaines propriétés, comme le Canada, ne sont tout simplement jamais à vendre...

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la rencontre entre Mark Carney et Donald Trump à la Maison-Blanche, prévue ce mardi.

Plusieurs personnes sont nerveuses face à cette discussion puisque les comportements du président américain sont imprévisibles.

«On sait que c'est comme un enfant,indique Paul Arcand. On ne sait pas trop comment il va se comporter devant la visite. Est-ce qu'il peut être grossier? Oui. Est-ce qu'il peut chercher à intimider Mark Carney devant les caméras? Pas impossible. Ce qui force l'entourage de Monsieur Carney à être assez nerveux. D'abord, qu'est-ce qu'on fait? C'est quoi le plan en cas de dérapage? Le banquier, dit-on, va rester de glace devant le spectacle du clown.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente l'annonce du président américain qui veut désormais s'attaquer à l'industrie du cinéma en imposant de nouveaux droits de douane de 100 % sur tous les films produits hors des États-Unis.

Il a déploré que l'industrie américaine du cinéma était en train de mourir, notamment parce que les autres pays ont mis en place des mesures incitatives pour attirer les réalisateurs.

«On sait qu'il y a énormément de productions faites au Canada. À Toronto, à Vancouver, à Montréal [...] Un film, c'est souvent comme une voiture, il y a des composantes qui viennent de différents pays surtout dans les grosses productions américaines [...] Comment ça va s'appliquer? on ne le sait pas encore [...] C'est un coup dur. À Montréal, beaucoup de techniciens gagnent leur vie grâce à des productions étrangères, à des productions américaines. Pas seulement parce que les coûts sont plus bas avec le taux de change, mais parce qu'au fil des ans, une expertise s'est développée ici et au Québec.»

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À l'occasion de sa revue de presse du vendredi, Paul Arcand revient sur les témoignages bouleversants des victimes de la tragédie de la garderie de Laval.

L'homme accusé d'avoir foncé sur la garderie à bord de son autobus, Pierre Ny St-Amand, a été déclaré non criminellement responsable. Il était en psychose selon les psychiatres.

«Pourquoi, cette journée-là, il a pris le volant et il a foncé à haute vitesse vers la garderie? Il n'en garde aucun souvenir. Il était complètement désorganisé. Et les parents sont pas capables d'accepter ça.»

Les parents ont pris la parole au procès jeudi. «À 36 ans, tu n’es pas supposée préparer les funérailles de ton enfant de 4 ans», a témoigné Marie-Christine Cloutier. Son fils, Jacob Gauthier, est mort dans la tragédie.

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À l’occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand revient sur l’élimination des Canadiens de Montréal en séries éliminatoires.

En s’imposant 4 à 1, les Capitals de Washington ont infligé une quatrième défaite décisive à l’équipe dirigée par Martin St-Louis.

«Pour être franc, personne ne voyait les Canadiens en séries. [...] Le noyau de l'équipe est pas mal solide avec Nick Suzuki et Cole Caufield. Surtout, on sent le progrès. La reconstruction donne un résultat.»

Il s'agissait d'un retour en séries pour les jeunes joueurs du Tricolore, une première depuis 2021.

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand passe au peigne fin les résultats des élections fédérales. 

Avec ses deux experts invités - le chroniqueur Dimitri Soudas, ex-directeur des communications du premier ministre canadien Stephen Harper, et Philippe Léger, chroniqueur politique au 98.5 - il fait le point sur l'élection du libéral Mark Carney à titre de premier ministre du Canada.

Ce dernier dirigera toutefois un gouvernement minoritaire. 

Le PLC a obtenu 168 sièges à la Chambre des communes contre 144 pour les conservateurs. Quant au Bloc québécois, il a remporté 23 sièges. Le NPD a 7 sièges et le Parti vert 1.

«Même si le résultat est moins bon qu'escompté pour Mark Carney, c'est quand même un résultat inespéré pour les libéraux. Ils se trouvent aux manettes du pouvoir. Pour Pierre Poilievre [...], ça demeure une défaite dans un contexte où il devait gagner.»-Philippe Léger

«La réalité d'hier, c'est que les libéraux ont perdu des plumes à travers le Canada, sauf au Québec. Donc, Mark Carney, ce nouveau chef qui parle un français quand même pénible, a gagné plus de sièges au Québec que Justin Trudeau à l'élection de 2015 quand il a obtenu sa majorité. Hier, le Québec a sauvé le Parti libéral du Canada.»-Dimitri Soudas

Le chef libéral a, sans surprise, été élu dans sa propre circonscription, tout comme le bloquiste Yves-François Blanchet, mais le scénario a été tout autre pour Pierre Poilievre et Jagmeet Singh, qui ont été battus.

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand fait le point sur l'attaque au camion-bélier à Vancouver.

La communauté philippine s’était rassemblée pour célébrer le festival Lapu Lapu, samedi soir, lorsqu’un conducteur à bord d’un VUS a foncé dans la foule. Le bilan : au moins 11 morts et une vingtaine de blessés.

Le suspect fait face à des accusations de meurtre au deuxième degré. Mais pourquoi a-t-il commis un tel geste?

«Il y a pas de motifs en tant que tels,indique Paul Arcand. Il n'avait pas de griefs contre la communauté [...] La police a dit que ce n'est pas un acte terroriste, c'est plutôt quelqu'un qu'on connaît qui a des problèmes de santé mentale. La police est intervenue à plusieurs reprises chez lui. Ça a été confirmé.»

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À l'occasion de sa revue de presse vendredi, Paul Arcand s'en prend à la décision de l'Office québécois de la langue française (OQLF) qui a demandé à la Société de transport de Montréal (STM) de remplacer son message «Go Canadiens Go» sur les panneaux électroniques de ses autobus. 

Interrogés à ce sujet jeudi, la plupart des élus provinciaux ont indiqué qu'il s'agit d'une expression québécoise qui ne menace pas la langue française.

«L'affaire est devenue une discussion nationale [...] C'est du niaisage et du gaspillage [...] La langue française est-elle mieux protégée maintenant? [...] Tout le monde utilise le "Go Habs Go", même pas le "Go Canadiens Go". Ça fait 100 ans que l'expression est connue en français comme en anglais, alors c'est quoi le problème?» 

«Tout le monde convient que c'est ridicule. Encore une fois, on a l'air d'une gang de bozos. [...] Ça devient une distraction alors qu'on devrait être concentré sur la fête et sur la joie liées au fait que les Canadiens soient en séries.»

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À l'occasion de sa revue de presse jeudi, Paul Arcand commente les plus récents sondages en lien avec les élections fédérales qui auront lieu le 28 avril.

«Les projections laissent entrevoir un gouvernement libéral majoritaire avec les conservateurs comme principal parti d'opposition. Le Bloc Québécois va avoir toutes les difficultés à conserver ses sièges et pourrait en perdre jusqu'à une dizaine. Le NPD est pratiquement appelé à disparaître...»

Le Globe and Mail rapporte par ailleurs que le chef du Parti conservateur du Canada, Pierre Poilievre, serait en danger dans sa propre circonscription de Carleton, située en Ontario.

«Le parti a délégué des organisateurs chevronnés, qui viennent du quartier général des conservateurs, afin de s'assurer que Poilievre soit réélu lundi soir. Il n'y a pas de sondage officiel, mais ce qui se dit, c'est que Poilievre serait nez à nez avec son adversaire libéral [...] S'il perd, il sera dans le trouble, pour vrai. On ne peut pas imaginer qu'il garde la direction du Parti conservateur [...] c'est assez incroyable comme revirement. Il y a quelques moins à peine, il voguait vers la victoire avec une vingtaine de points d'avance.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand traite de la pression qui pèse sur les urgences du Québec.

Près de 4 millions de visites ont été enregistrées dans les salles d’urgence, un record en cinq ans.  

«Malgré une pression accrue sur les urgences, on note une baisse de 5000 patients sur une civière pour plus de 48 heures. Il y a des gens qui y passaient deux jours! Mais vous me permettrez de douter des chiffres...»

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À l’occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand revient sur la défaite des Canadiens de Montréal face aux Capitals de Washington, par la marque de 3-2 en prolongation.

Alexander Ovechkin s’est illustré en marquant deux buts, dont celui de la victoire.

«Samuel Montembeault a été merveilleux devant le filet,affirme Paul Arcand. Le Canadien s'est fait brasser dès le début du match et est revenu ensuite dans la partie avant de l'échapper. Et à TVA Sports on a beaucoup critiqué l'arbitrage.»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, l'animateur Paul Arcand revient sur le débat des chefs en anglais.

«Ça a été un face-à-face Carney et Poilievre [...] Carney a été la cible évidemment. C'est le premier ministre à le tête d'un parti qui est au pouvoir depuis 10 ans. M. Carney a dit à Poilievre dans le débat: "Je sais que vous avez passé les dernières années à taper sur Justin Trudeau et sur la taxe carbone, mais les deux ne sont plus là."»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur le débat des chefs en français de mercredi soir. 

Quatre chefs ont croisé le fer: Mark Carney du Parti libéral du Canada, Pierre Poilievre du Parti conservateur du Canada, Yves-François Blanchet du Bloc québécois et Jagmeet Singh du Nouveau Parti démocratique. Le Parti vert a été exclu du débat mercredi puisqu'il ne remplissait pas deux des trois conditions nécessaires à sa présence.

«Des baisses d'impôts, un médecin pour tout le monde, des infirmières en quantité, des pipelines, des soins dentaires, des garderies, des médicaments... Et quand on pose la question : ça va coûter combien? La réponse: on va déposer nos cadres financiers d'ici quelques jours...»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur le débat des chefs en français à Radio-Canada qui a été devancé à 18 h en raison de la tenue du match des Canadiens de Montréal, qui pourrait leur permettre d'accéder aux séries éliminatoires.

Le Bloc Québécois et le Nouveau Parti démocratique ont réclamé mardi ce changement d'horaire.

«Aujourd'hui, le Centre Bell attire plus de monde, pas mal plus d'attention, que la Maison de Radio-Canada,affirme l'animateur.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand aborde la situation des agresseurs sexuels au Canada, qui sont de plus en plus nombreux à purger leur peine à la maison.

Selon ce que rapporte Le Journal de Montréal, plus de 700 agresseurs sexuels ont eu droit à ce qui est qualifié de «sentence Netflix», depuis deux ans.

Le ministre québécois de la Justice, Simon Jolin-Barrette, demande aux partis fédéraux en pleine campagne électorale de s'engager à modifier la loi.

«Tout ça découle de la loi qui a été poussée devant le Parlement par Justin Trudeau,indique l'animateur Paul Arcand. C'est son héritage.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand parle de Donald Trump qui a averti qu'aucun pays «n'est tiré d'affaire», au lendemain de l'exemption de tarifs sur les téléphones intelligents, ordinateurs et autres produits électroniques.

Le président américain avait aussi suspendu ses surtaxes douanières réciproques mercredi.

«La fameuse pause de 90 jours, est-ce que ça va continuer cette semaine? Est-ce qu'il va changer d'avis? C'est constamment une boîte à surprise. C'est ça qui dérange...»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand réagit à la décision de la Chine d'imposer des droits de douane de 125 % sur les produits américains en riposte aux tarifs précédemment annoncés par Donald Trump.

Dès samedi, les tarifs imposés par le géant chinois passent donc de 84 à 125 %.

Il s'agit d'une nouvelle escalade dans cette guerre commerciale qui fait la pluie et le beau temps sur les marchés boursiers.

«L'une des inquiétudes, c'est la récession et l'inflation, donc l'augmentation du prix du panier d'épicerie. Quand vous regardez les bourses, du côté américain, ça a glissé quand même pas mal jeudi. Du côté de l'Asie, vendredi matin, on encaisse des pertes importantes...»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand traite du revirement de situation en lien avec les droits de douane de Donald Trump.

Le président américain a annoncé mercredi une pause de 90 jours dans les tarifs réciproques, les abaissant tous à 10%, sauf pour la Chine.

Une situation qui ne change toutefois rien pour le Canada et le Mexique.

«Il est peu comme le gars qui négocie avec ses créanciers. ''Je vais vous payer dans 30 jours, je vais vous payer dans 60 jours, je vais vous donner la moitié maintenant''. Son plan, c'est vraiment étape par étape, pour garder le contrôle. L'art de négocier.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur les tarifs douaniers de 25% imposés depuis minuit par le Canada sur les voitures fabriquées aux États-Unis. 

«La question qui se pose, c'est comment le monarque va réagir? Et quelle doit être notre attitude?»

De plus, le président américain, Donald Trump, a annoncé qu'il allait imposer des tarifs de 104% sur les produits chinois.

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand fait le point sur le procès de Pierre Ny St-Amand, qui a débuté lundi. Le chauffeur d'autobus est accusé d'avoir foncé dans une garderie de Laval il y a deux ans, tuant deux enfants et en blessant six autres.

Les parents de Jacob, décédé à 4 ans dans la tragédie, ont droit à un suivi thérapeutique pour le reste de leur vie. Ils dénoncent que la grande sœur de Jacob n'ait eu droit qu'à 30 séances de psychothérapie.

«C'est quoi la différence entre une petite fille qui a appris la mort de son frère, on est allé la chercher à l'école, elle a vu la détresse sur le visage de sa mère, elle a compris que son petit frère était décédé. Pourquoi ce serait moins dur pour elle?»

La Couronne et la défense ont présenté une preuve commune de non-responsabilité criminelle pour cause de troubles mentaux.

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand fait le point sur les indices boursiers qui continuent de chuter depuis l'annonce des droits de douane à plus d'une centaine de pays par Donald Trump.

«La planète n'arrive vraiment pas à se relever du coup de poing tarifaire infligé par le roi.»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur les bourses mondiales moins de 48 heures après le lancement des missiles tarifaires du président américain Trump.

«Donald trouve que tout va très bien [...] Dans la journée d'hier, les indices boursiers ont planté comme on n'a jamais vu. Même la valeur des actions de ses amis, les oligarques, ont fondu. Plusieurs anticipent une récession.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente les tarifs réciproques imposés mercredi par Donald Trump qui touchent plus d'une centaine de pays. Le Canada ne fait toutefois pas partie de cette liste.

Le président américain a également imposé des tarifs de 25% sur les voitures et les pièces automobiles fabriquées à l'étranger. 

«Le Canada écope moins que prévu, mais le monarque laisse entendre que d'autres tarifs pourraient être imposés.» 

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit aux menaces du président américain Donald Trump qui s'apprête à imposer de nouveaux tarifs à une multitude de pays, dont le Canada, mercredi.

«Cet après-midi, probablement autour de 16h00, le roi va prendre place dans la roseraie de la Maison-Blanche. On l'imagine déjà rayonnant, arrogant, avec un sourire de satisfaction. Le narcissique va vous regarder et vous dire qu'il a signé plein de décrets pour imposer des tarifs. Le mot "tarif", son mot préféré dans le dictionnaire. Trump n'est pas très fiable, il ment à répétition, il arrange la réalité, mais il a quand même dit dans les derniers jours que les tarifs allaient s'appliquer pays par pays et non pas produit par produit.»

«Certains pays, on peut penser que le Canada fait partie de la liste, vont y goûter plus que d'autres.»

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À l'occasion de sa revue de presse du 1er avril, Paul Arcand discute de l'abolition de la taxe carbone par Mark Carney, qui fera baisser le prix de l'essence partout au Canada, sauf au Québec.

«Quand [la taxe carbone] a été créé par le gouvernement libéral, on nous disait avec raison qu'il fallait aller chercher de l'argent pour électrifier le transport et adapter nos infrastructures. On a créé le Fonds vert, qui a été un grand puits sans fond. Ça a été du grand n'importe quoi.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand revient sur les déclarations du président américain Donald Trump, qui a mentionné en entrevue avec le réseau NBC News qu'il n'écartait pas la possibilité de solliciter un troisième mandat.

Même si un amendement à la Constitution limite les présidents des États-Unis à huit années au pouvoir, le républicain affirme que des méthodes existent pour se porter à nouveau candidat.

«Son mandat n'est commencé depuis un peu plus de deux mois que déjà le monarque nous annonce qu'il en veut un troisième. Il y a un parfum de dictateur autour de ça.»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde la question des tarifs de Donald Trump sur le secteur de l'automobile, alors que l'industrie se prépare à refiler les hausses de prix aux consommateurs.

Le prix des voitures pourrait ainsi augmenter de plusieurs milliers de dollars dès le mois de mai. Ces hausses pourraient d'ailleurs se chiffrer entre 3000 et 17 000 dollars de plus par véhicule vendu selon le modèle ciblé.

«Le roi nous annonce d'autres tarifs, probablement dès la semaine prochaine, et surtout si le Canada et l'Europe décident d'imposer des tarifs, il va à son tour imposer d'autres tarifs dans cette guerre commerciale. [...] Tous les experts, tous les acteurs du monde de l'industrie automobile disent que ce n'est pas vrai que les compagnies vont absorber des tarifs de cette ampleur.»

Il explique aussi que de nouveaux tarifs pourraient rapidement cibler le secteur du bois d'oeuvre, des pâtes et papiers et de la production laitière.

Notons que Paul Arcand traite aussi en ouverture d'un tremblement de terre d'une magnitude de 7,7, qui a frappé le centre de la Birmanie dans les dernières heures, faisant des dégâts très importants.

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand analyse les répercussions de la décision du président américain Donald Trump d'imposer des droits de douane de 25 % sur les véhicules importés aux États-Unis et dont les pièces n'ont pas été fabriquées en sol américain. 

Cette mesure entrera en vigueur le 3 avril.

Le président des États-Unis prétend que cette politique incitera les fabricants automobiles à déménager leurs usines en sol américain afin que leurs voitures soient exemptées de tarifs. 

Il affirme que ces tarifs allaient générer au moins 100 milliards en revenus supplémentaires à court terme.

«Tout ce que le président américain a menacé de faire depuis janvier, ça se concrétise le 3 avril prochain. Ces droits de douane sont quatre à cinq fois plus élevés que la marge de profit des constructeurs automobiles et des fournisseurs. Qui va payer 2000$, 4000$, 10 000$, 12 000$ de plus par véhicule? On va le voir dans les prochains mois, mais c'est certain que les tarifs seront directement refilés aux consommateurs. C'est le premier constat qu'on peut faire.»

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À l'occasion de sa revue de presse mercredi, Paul Arcand réagit au dépôt du budget du ministre des Finances du Québec, Eric Girard.

Un budget marqué par un déficit historique d'au moins 13,6 milliards pour l'année à venir, dans un contexte de hausse des tarifs douaniers imposés par le président américain Donald Trump.

«Ce qu'Eric Girard nous propose, ce sont des chiffres préliminaires, des hypothèses, des variables qui peuvent changer à tout moment. Ce sont des projections assez optimistes du futur, selon les analystes. Et ce futur dépend beaucoup, beaucoup de Donald Trump.»

Pour le reste, Paul Arcand estime que le gouvernement, avec cet exercice budgétaire, évite de répondre aux vraies questions et refuse d'avoir une «discussion franche et honnête» sur les finances de l'État.

«Dans le fond, aucun débat réel. On préfère, comme toujours, se mettre la tête dans le sable et ne pas regarder la réalité en face. A-t-on encore les moyens de se payer notre système de santé? On vieillit collectivement et les traitements coûtent cher.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde la présentation du nouveau budget par le ministre des Finances du Québec, Éric Girard, alors qu'on ne prévoit aucun cadeau, mais un déficit record malgré tout.

Il est donc terminé le temps où François Legault distribuait les bonbons et les surprises.

«Éric Girard c'est un banquier. Un homme extrêmement conservateur de nature, qui n'aime pas les déficits et qui va devoir expliquer que les finances publiques sont dans le rouge, mais vraiment dans le rouge. C'est un déficit historique.»

On peut donc s'attendre à ce que des mesures soient mises en place pour que le gouvernement puisse augmenter ses revenus pour tenter d'amenuiser ce déficit majeur tout en conservant le filet social dont s'est donné le Québec.

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand réagit au déclenchement de la campagne électorale au pays alors que les Canadiens sont attendus aux urnes le 28 avril prochain.

Une campagne d'une durée de cinq semaines qui se déroule en pleine guerre commerciale avec les États-Unis.

«Une campagne qui sera rapide, intense, avec un résultat qui, si on se fie aux sondages, sera serré. Dès le départ, chaque chef s'est positionné face à Donald Trump. Il occupe vraiment toute la place. Qui est le meilleur pour négocier avec lui? Qui est le meilleur pour défendre les intérêts du Canada? On imagine d'ailleurs déjà Trump, pendant les semaines de campagne, attaquer les candidats sur son réseau social [...] Vous pouvez être certain qu'il va s'amuser avec ça.»

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À l'occasion de sa revue de presse du 21 mars, Paul Arcand parle de politique américaine, alors qu'aux États-Unis, les électeurs commencent à réaliser que les politiques de Donald Trump vont leur coûter cher.

«D'abord, Donald Trump continue de s'acharner contre l'éducation, il se fout complètement des jugements rendus contre lui et, dans un moment de générosité, il a donné plein accès au Pentagone à son ami Elon Musk.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Paul Arcand aborde les menaces de Donald Trump et la réaction du Canada alors qu'Ottawa se tourne vers l’Europe pour un partenariat militaire qui permettra au Canada de participer au plan de réarmement massif de l’Europe de 800 milliards d’euros d’ici 2030.

Il explique que le Québec pourrait bénéficier de ce partenariat militaire en aérospatiale, du côté de l’intelligence artificielle, à Montréal, et dans la construction navale au chantier maritime Davie de Lévis.

De plus, Paul Arcand souligne que le gouvernement fédéral songe à se tourner vers la société suédoise Saab pour acheter des avions de combat Gripen en remplacement des avions de combat F-35 de la société américaine Lockheed Martin.

«Ce qui est clair, c'est que [Donald Trump] n'aime pas le Canada, qu'il veut affaiblir le Canada et qu'il a un objectif précis en ce qui concerne les ressources naturelles.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand aborde les circonstances autour du décès du petit Renaud, un bébé de 2 mois, survenu à l'hôpital de Rimouski en avril 2023 alors que le poupon était en bonne santé.

«Est-ce que la mort de l'enfant est reliée aux vaccins? Le coroner ne peut pas répondre à la question.»

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À l'occasion de sa revue de presse du mardi 18 mars, Paul Arcand discute de la victoire écrasante du Parti québécois (PQ) dans Terrebonne, l'ancienne circonscription de Pierre Fitzgibbon.

«Pour le premier ministre Legault, ce n'est même pas une victoire morale [...] On peut penser à l'écœurantite des citoyens, Northvolt, l'attente en santé et une grogne généralisée.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand aborde les dernières actualités en lien avec le président américain Donald Trump.

Il commente notamment la confusion qui règne à la frontière canado-américaine concernant l'application des tarifs. Il est aussi question du discours de Donald Trump vendredi dernier où le président américain n'a pas hésité à blâmer les tribunaux et les médias.

«Le roi jongle avec essentiellement deux balles: les tarifs et les institutions, c'est-à-dire la police, les tribunaux et les médias. L'objectif, toujours le même chez le roi: créer le chaos pour pouvoir gagner.»

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À l'occasion de sa revue de presse du 14 mars, Paul Arcand discute de Mark Carney, qui devient officiellement premier ministre du Canada vendredi. 

Mark Carney dévoilera vendredi son cabinet. Mélanie Joly, la ministre des Affaires étrangères, conserverait son poste, tout comme, le ministre des Finances, Dominic Leblanc, et le ministre de la Sécurité publique, David McGuinty.

Le ministre de l'Environnement et des changements climatiques, Steven Guilbeault, serait écarté de son poste, selon Radio-Canada. Il deviendrait le ministre responsable du Patrimoine, des Langues, des Sports et de la Conservation de la nature.

«La priorité pour Mark Carney c'est de comprendre Donald Trump. Comment approcher la bête? Comment parler au monarque? [...] On le sait que le rapport entre les individus compte. M. Trump détestait Justin Trudeau et ça paraissait dans le ton utilisé par Trump dans sa fixation sur le Canada.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand aborde le cinquième anniversaire du début de la pandémie de COVID-19 au Québec, avec la fermeture des écoles, des cégeps, des universités et des services de garde, le 13 mars 2020.

« Encore aujourd'hui, il y a des Québécois qui souffrent des effets de la COVID longue : épuisements, douleurs, incapables de se livrer à des activités quotidiennes normales. Et on ne peut pas oublier toutes ces personnes qui ont perdu la vie. »

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur cette autre journée forte en rebondissements dans les relations canado-américaines concernant les tarifs douaniers.

Le premier ministre de l'Ontario Doug Ford a finalement décidé, mardi, de suspendre sa surtaxe sur les exportations d'électricité aux États-Unis.

Donald Trump a quant à lui renoncé à sa menace de doubler les tarifs sur l'acier et l'aluminium canadien.

«Ford a reculé et a appelé au dialogue. Imaginez la réaction de Trump. Le monarque jubile, encore une fois. Le Canada s'incline après avoir bombé le torse.»

Les droits de douane de 25% sont toutefois en vigueur depuis minuit sur l’aluminium et l’acier du Canada.

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À l'occasion de sa revue de presse du 11 mars, Paul Arcand revient sur l'état de la Bourse, au lendemain d'une nette chute des marchés en raison de la crainte d'une récession aux États-Unis.

À New York, les trois principaux indices boursiers ont perdu de 2 à 4 %. À Toronto, l’indice composé S&P/ TSX a reculé de 1,5 %.

Dans une entrevue dimanche, le président américain, Donald Trump, a évoqué une période de «transition» sans écarter la possibilité d'une récession.

«Si on veut être très juste, l'année 2024 a été une année payante pour les portefeuilles. Les titres ont pris de la valeur, notamment dans le domaine des technologies. Est-ce qu'on assiste à une correction? Probablement, mais [une correction] amplifiée par les tarifs parce que sa magnificence change d'idée régulièrement. Il est un peu comme un adolescent en crise.»

Le titre de Tesla a d'ailleurs perdu 15 %, alors que les estimations de ses ventes reculent.

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi matin, Paul Arcand aborde le couronnement de Mark Carney dimanche soir en tant que chef du Parti libéral du Canada dès le premier tour de scrutin.

Les membres étaient appelés à voter pour la personne qui succédera au premier ministre Justin Trudeau.

Quatre candidats s'affrontaient pour le poste de chef et de premier ministre, soit Mark Carney, ancien gouverneur de la Banque du Canada, Chrystia Freeland, ex vice-première ministre et ministre des Finances, la députée libérale Karina Gould et l'homme d'affaires Frank Baylis.

Mark Carney était le favori dans la course, selon différents coups de sonde, alors que sa campagne a également amassé plusieurs millions de dollars de plus que celles de ses adversaires.

Il faudra maintenant attendre quelques jours avant que la passation des pouvoirs entre le nouveau chef et le premier ministre Justin Trudeau ait lieu.

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Le président américain, Donald Trump, a signé jeudi un décret qui suspend les droits de douane sur certaines exportations canadiennes, soit celles jugées conformes à l'Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM). 

Le Canada a suspendu sa deuxième vague de répliques tarifaires après cette décision.

«Il est le centre d'intérêt de la planète et il jubile. Ça l'amuse. Il faut toujours qu'il ait une façon de sortir gagnant. La bourse plante. Trump répond que ça n'a rien à voir avec ses tarifs.»

C'est la deuxième fois en deux jours que Trump recule sur ses tarifs.

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À l'occasion de sa revue de presse du jeudi 6 mars, Paul Arcand fait le point sur la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis.

D'abord, l'échange téléphonique de 50 minutes entre Justin Trudeau et son homologue américain Donald Trump n'a pas permis de convenir d'une trêve.

Toutefois, le secteurs automobile ont obtenu un sursis de 30 jours.

«C'est pour permettre aux géants automobiles de déménager leur production du Canada aux États-Unis. Sérieux, ça ne se fait pas comme ça! Ça peut prendre jusqu'à quatre ans.»

Deux Canadiens sur trois ont réduit leurs achats de produits américains. Mais, est-ce que le boycottage a un impact réel sur les politiques américaines?

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente le discours sur l'état de l'Union de Donald Trump, qui a eu lieu mardi soir, devant le Congrès.

« Donald le magnifique a fait un discours interminable de près de deux heures hier soir devant le Congrès américain, le fameux discours sur l'état de l'Union, un discours-fleuve copié collé sur ceux qu'il prononçait durant ses rassemblements de la campagne électorale. Pour dire quoi? D'abord, bien sûr, qu'il est absolument extraordinaire. Qu'il a fait en six semaines ce que les anciens présidents n'étaient pas capables de faire en quatre ou huit ans. »

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand commente la décision de Donald Trump qui a mis sa menace à exécution en frappant le Canada, le Mexique et la Chine d'importants tarifs douaniers. 

«Depuis 00h01, des tarifs américains de 25% s'appliquent sur les produits canadiens et mexicains. Sauf l'énergie, c'est un peu moins [...] C'est la première attaque de cette guerre commerciale. La deuxième à venir visera l'aluminium et l'acier. Un 25% de plus au mois d'avril. Pourquoi ne pas ajouter le bois d'oeuvre? Tout ça est à déterminer. Une troisième attaque est possible, des tarifs supplémentaires en réponse aux tarifs imposés par le Canada.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente la réaction des principaux dirigeants européens qui ont décidé de se lever et de réitérer leur appui indéfectible à l'Ukraine en fin de semaine lors d'un sommet qui s'est tenu à Londres.

Cette rencontre est survenue quelques heures à peine après l'altercation verbale entre le président américain Donald Trump et le président ukrainien Volodymyr Zelensky qui a eu lieu vendredi dans le bureau Ovale.

«Deux jours après avoir été expulsé de manière cavalière de la Maison-Blanche, le président Zelensky obtient maintenant l'appui très clair et ferme de l'Europe, afin de faire face à l'alliance étrange, impensable il y a quelque temps, mais qui est de plus en plus réelle, formée de Donald Trump et Vladimir Poutine. Concrètement, c'est de l'argent, des armes, des efforts politiques et diplomatiques pour trouver une façon de mettre un terme à cette guerre.»

Les dirigeants participants au sommet se sont entendus pour soutenir les Ukrainiens pour en arriver à une paix durable, tout en collaborant avec les États-Unis.

Le président français Emmanuel Macron et son homologue britannique Keir Starmer ont aussi proposé une trêve d’un mois en Ukraine.

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La démission d'Éric Caire à titre deministre de la Cybersécurité et du Numérique est au coeur de la revue de presse de Paul Arcand vendredi.

Plongé dans l'embarras en raison des révélations entourant le fiasco de la plateforme SAAQclic, le caquiste a dû quitter son poste jeudi après-midi.

«Éric Caire était devenu gênant et embarrassant pour le gouvernement. Pourquoi? Parce que c'était le symbole du laxisme, de l'irresponsabilité ministérielle, du manque de rigueur dans l'octroi et la gestion de ces contrats qui représentent des centaines et des centaines de millions de dollars. Quand il était dans l'opposition, c'était Zoro [...] et là, il nous arrive avec une version du ministre naïf qui prétend n'avoir rien vu...»

Les partis d'opposition à l'Assemblée nationale réclament maintenant une commission d'enquête publique pour faire la lumière. 

La ministre Geneviève Guilbault et son prédécesseur au ministère des Transports, François Bonnardel, sont également sur la sellette dans ce dossier.

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand fait le point sur les plus récentes informations dans le dossier du fiasco SAAQclic.

Le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire, avait été informé des dépassements de coûts de la plateforme dès juin 2022. 

C'est ce que rapporte Le Devoir jeudi matin.

Dans le document de juin 2022, dont le quotidien a obtenu copie, il était inscrit que le budget de 97 millions de dollars était ainsi augmenté à 416 millions. 

«En résumé, en tenant compte du rapport de la vérificatrice générale [Guylaine Leclerc], on peut dire que le bateau de la SAAQ était mené par des manipulateurs, des menteurs et des incompétents. Le fil de la bobine se déroule tranquillement.»

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«Éric Caire, c'est étonnant, mais c'est comme ça, a encore l'appui de François Legault. Sérieux, c'est à n'y rien comprendre.»

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À l'occasion de sa revue de presse du mercredi 26 février, Paul Arcand fait le point sur la transition informatique de la Société de l'assurance automobile (SAAQ). Le responsable du fiasco SAAQClic, Karl Malenfant, jette le blâme sur le ministre de la Cybersécurité et du Numérique, Éric Caire.  

«M. Malenfant réfute les conclusions de la vérificatrice générale. Il dit qu'il a donné sa version des faits et que l'équipe de la vérificatrice générale n'a pas tenu en compte ses propos. Il dit qu'il y avait des rencontres d'étapes tous les vendredis. Tout le monde savait où le projet s'en allait.»

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À l'occasion de sa revue de presse du mardi 25 février, Paul Arcand fait le point sur le fiasco du virage numérique de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ).

«Le bordel coûte 500 millions minimum, une facture qui va dépasser le milliard de dollars. Le feu rouge était allumé, le train informatique fonçait dans le mur à haute vitesse et les patrons ont refusé de l'arrêter.»

La présidente du Conseil du Trésor Sonia LeBel a annoncé que Québec a commandé une enquête à l’Autorité des marchés publics (AMP). 

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand réagit au troisième anniversaire de la guerre entre la Russie et l'Ukraine.

Les deux pays sont en guerre latente depuis 2014, au moment de l'annexion de la Crimée par la Russie, mais le conflit a pris une autre tournure en février 2022. 

Depuis, l'Ukraine résiste, mais pas à n'importe quel prix. 

«Il y a trois ans, l'armée russe envahissait l'Ukraine. Des dizaines et des dizaines de milliers de morts, de blessés, de réfugiés. Six millions d'Ukrainiens ont été forcés de quitter leur pays, certains sont revenus, d'autres sont encore à l'étranger. Quatre millions de personnes se sont déplacées à l'intérieur du pays, le plus loin possible des zones de combat. L'aide internationale pour l'Ukraine, c'est environ 300 milliards. Trump a d'ailleurs indiqué, en fin de semaine, qu'il voulait se faire rembourser. Sur le plan des négociations, Poutine et Trump sont main dans la main.»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand revient sur les déboires de la Société de l'assurance automobile du Québec.

La vérificatrice générale du Québec a présenté jeudi un rapport accablant sur la mise à jour informatique de la SAAQ. Guylaine Leclerc affirme que les coûts, l'échéancier et la qualité du nouveau système informatique n'ont pas répondu aux attentes.

Le budget de 638 millions de dollars sur 10 ans dépassera plutôt le 1,1 milliard.

«La délicieuse Société de l'assurance automobile du Québec a été dirigée par des menteurs et des incompétents. Avouez que c'est payé cher en maudit pour un produit de mauvaise qualité qui a foutu le bordel dans les systèmes et qui a emmerdé les automobilistes payeurs de taxes.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Paul Arcand aborde l’opération de déneigement à Montréal, alors que la Ville ne sait pas quand le tout sera terminé.

«Il y a aussi la perception! Quoi qu'on en dise, quoi qu'on fasse, vous irez expliquer à des citoyens pourquoi la piste cyclable est nettoyée quand le trottoir adjacent est encore enseveli sous la neige... je connais la cassette [...] mais le doute s'installe!»

L'animateur partage d'ailleurs quelques anecdotes frustrantes de plusieurs citoyens.

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur l'opération déneigement à Montréal à la suite des 72 centimètres de neige tombés dans les derniers jours.

Dans la métropole, seulement 10% de l’opération déneigement est complétée.

«Je commence à moins les croire. Je commence à avoir de la difficulté à acheter les cassettes de la Ville de Montréal pour nous expliquer la lenteur de l'opération déneigement.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand fait le point sur l'opération de chargement à Montréal à la suite de la quantité astronomique de neige tombée sur la métropole au cours des derniers jours.

«Ce qui est clair, c'est qu'on en a pour plusieurs jours avant de retrouver une certaine normalité. Pourquoi? La combinaison de ces deux tempêtes, pour Montréal seulement, c'est au-delà de 72 cm. Ajoutez à ça le blizzard, ça devient le bordel. Selon les chiffres de MétéoMédia, il faut remonter à 1898, pour retrouver de telles quantités de neige!»

Il faudra au moins huit jours à la Ville de Montréal pour venir à bout de toute la neige tombée sur son territoire. 

Le chargement est commencé dans plusieurs secteurs, mais les citoyens devront être patients, surtout pour les trottoirs. 

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À l’occasion de sa revue de presse du 17 février, Paul Arcand revient sur la deuxième tempête de neige qui frappe le Québec en l’espace de 72 heures.

«Le blizzard qui a frappé, la neige qui avait commencé durant la nuit, les températures ressenties étaient autour de -20 degrés dans la région de Montréal... La visibilité réduite, il y a eu un carambolage sur la 20 dans la région de Québec et les rues sont de plus en plus étroites.»

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Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février.

La comédienne, scénariste et dramaturge Pascale Renaud-Hébert qu’on voit partout ces temps-ci, a trouvé le temps de participer au balado On n’a pas tout dit, animé par Paul Arcand, en collaboration avec Catherine Brisson et Alain Crête.

Bien qu’elle soit impliquée dans de nombreux projets, elle discute surtout de sa fascination pour l’univers du «true crime».

Par ailleurs, Pascale Renaud-Hébert parle de son intérêt pour les appels 911 avant de s'endormir! 

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Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février.

C’est par hasard que Vincent Graton s’est découvert une ressemblance avec l’ancien chef notoire des Hells Angels au Québec, Maurice «Mom» Boucher, qu’il personnifie dans la série québécoise L’appel.

Celle-ci est réalisée par Julie Perreault et scénarisée par Luc Dionne.

Le comédien a été l’invitée de Paul Arcand dans le cadre du balado On n’a pas tout dit, qui est animé en collaboration avec Catherine Brisson et Alain Crête.

Dans cet entretien, Vincent Graton partage de savoureuses anecdotes sur son nouveau personnage…

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Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février.

La comédienne Élise Guilbault a été l’invitée de Paul Arcand dans le cadre du balado On n’a pas tout dit, qui est animé en collaboration avec Catherine Brisson et Alain Crête.

Elle partage ses impressions sur le milieu culturel dans lequel elle évolue depuis plus de 35 ans. 

Tout en humour, l'artiste révèle qu’avoir un «esprit agité» et «être smath», c’est probablement ce qui lui a permis également de se faire une place comme chroniqueuse à la radio et à la télévision.

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Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février 2025.

Guy A. Lepage a été l’invité de Paul Arcand en début d’année, dans le cadre du balado On n’a pas tout dit, qui est animé en collaboration avec Catherine Brisson et Alain Crête.

Le quatuor discute notamment de la dixième saison d’Un gars, une fille, dont plusieurs sketchs sont inspirés de la propre vie de Guy A. Lepage.

Ce dernier revient aussi sur sa relation abimée avec Dany Turcotte, plusieurs mois après la publication de l'autobiographie intitulée D. Turcotte & fils.

Guy A. Lepage et Dany Turcotte ont travaillé ensemble pendant plus de 16 ans sur la populaire émission de Radio-Canada, avant la démission du co-animateur, surnommé le «fou du roi», le 18 février 2021.

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Paul Arcand profite de quelques jours de congé. Jusqu’à vendredi, il vous offre un condensé de quelques entrevues réalisées ces dernières semaines. La revue de presse de Paul Arcand, dans sa formule habituelle, sera de retour le lundi 17 février.

En mars, ça fera cinq ans que le Québec a été frappé de plein fouet par la COVID-19. Le Dr Horacio Arruda, alors directeur national de la santé publique, a été au front pendant 22 mois pour gérer la pandémie, qui a affecté tous les pans de notre société. 

Il se livre en toute franchise et sans regret à propos de ce défi professionnel incomparable. Il revient notamment sur ses déclarations marquantes et ses recommandations parfois impopulaires. 

Voici quelques sujets abordés lors de l'entrevue: 

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde les profits de la multinationale Amazon qui ont presque doublé au cours de la plus récente période des Fêtes.

Il explique que ce sont près de 20 milliards de dollars de profits qui se sont ajoutés pour l'entreprise de Jeff Bezos, qui a dépassé Walmart pour la première fois en termes de revenus trimestriels.

«Un élément clé quand on regarde la situation politique aux États-Unis, c'est le rôle de ces oligarques... Elon Musk, un rôle très actif. Jeff Bezos... vous voyez ses intérêts, alors il n'est pas très loin. Zuckerberg... tous ces gens-là se sont convertis récemment et qui ont viré vers les républicains en disant: "C'est sûr qu'il va l'emporter et qu'il va défendre nos intérêts et protéger nos monopoles".»

Entre-temps, l'animateur explique qu'une demande d'action collective a été déposée contre Amazon au Québec en raison des garanties de livraison qui ne sont pas respectées pour certains citoyens.

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi, Paul Arcand commente la décision du ministère israélien de la Défense, qui a demandé à l’armée de préparer le départ volontaire des Palestiniens de la bande de Gaza.

L'État hébreu donne ainsi suite à l'idée du président américain Donald Trump qui a déclaré, mardi, souhaiter transformer Gaza en une station balnéaire tout en envoyant ses habitants en Jordanie ou en Égypte.

«Vous comprendrez que ça fait l'affaire de la droite israélienne parce que vous réglez le problème, vous faites fuir les Palestiniens, vous présentez ça comme une solution humanitaire et vous venez de prendre le contrôle d'un territoire et d'assurer la sécurité d'Israël...

«Qu'est-ce que ça veut dire aussi, cette déportation, cette ouverture vers une migration contrôlée? Ça n'arrivera pas. On le sait tous. Les Palestiniens veulent rester sur leur territoire. Ce n'est pas vrai qu'ils vont prendre la route de l'exil.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand réagit aux propos du président américain Donald Trump qui a déclaré que les États-Unis vont prendre le contrôle de la bande de Gaza. 

Aux côtés du premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, la veille, le républicain a expliqué vouloir faire de la bande de Gaza la Côte d'Azur du Proche-Orient tout en plaidant à nouveau pour le déplacement permanent des habitants du territoire palestinien. 

«Une autre journée fort active pour Trump. C'est assez hallucinant [...] Il nous annonce que ce serait très agréable de faire de Gaza une espèce de station balnéaire. Il l'avait déjà dit et il l'a répété aux Palestiniens: "Prenez vos valises, ça ne sert à rien de retourner chez vous, ce sont des débris, il n'y a rien à faire, allez vous installer en Égypte, en Jordanie." Et ce, même si les deux pays ont dit ne pas vouloir recevoir ce lot de réfugiés [...] Ce n'était pas le président, mais le promoteur immobilier qui parlait.»

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À l'occasion de sa revue de presse, mardi, Paul Arcand réagit à l'annonce du sursis d'au moins 30 jours quant à l'imposition des tarifs douaniers américains.

Le premier ministre du Canada Justin Trudeau l'a confirmé lundi en fin de journée après s'être entretenu avec le président des États-Unis, Donald Trump, une deuxième fois. 

«Trump montre qu'il est capable de mettre à genou ses adversaires. Il l'a fait avec la Colombie, le Mexique et il l'a fait avec le Canada. Il arrache des concessions, ça se fait rapidement et joue très bien ses cartes. Il prépare aussi la renégociation de l'Accord de libre-échange Canada-États-Unis-Mexique.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand revient sur la guerre commerciale entre le Canada et les États-Unis.

Dès mardi, les deux pays imposeront des tarifs douaniers de 25%.

L'animateur commente notamment l'impact de ces tarifs douaniers sur les consommateurs, autant canadiens qu'américains.

Il aborde également l'importance de l'achat local et se questionne sur la pertinence d'un boycott des produits américains, notamment à l'épicerie.

«C'est sûr que l'achat local, c'est la meilleure chose. [...] Pourquoi on ne le faisait pas avant? Pourquoi ça prend une pandémie, une guerre de tarifs, pour soudainement se dire qu'il faut s'encourager entre nous? C'est difficile parce que, ce qui motive le consommateur, c'est le prix.»

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À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur l'enquête concernant la collision entre un hélicoptère militaire et un avion de ligne qui a fait 67 morts, mercredi soir, à Washington.

Selon le New York Times, il n'y avait qu'un seul contrôleur dans la tour de l'aéroport Reagan au moment de la tragédie, ce qui est contraire à la procédure habituelle. 

Paul Arcand commente également la réaction du président Donald Trump qui, après avoir offert ses condoléances aux familles des victimes, a décidé de faire de la petite politique avec le drame.

«Trump, dans les heures qui ont suivi la collision, avait déjà tout compris [...] Il a dit que tout ça découlait des politiques de diversité et de discrimination positive de ses prédécesseurs Joe Biden et Barack Obama [...] C'est la manière de faire de Trump: prendre un événement, mentir, truquer la réalité et, surtout, s'en servir et l'adapter à des fins politiques pour que ça colle à son discours.»

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À l'occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Paul Arcand aborde la vaste opération de sauvetage qui est en cours à Washington après qu'un avion de la compagnie American Airlines, avec 60 passagers à bord ainsi que quatre membres d'équipage, soit entré en collision avec un hélicoptère militaire Blackhawk près de l'aéroport national Ronald Reagan.

«C'est flou, mais il semble y avoir eu un problème majeur de communication, affirme Paul Arcand. Cet hélicoptère ne devait pas se retrouver sur la trajectoire de ce vol d'American Airlines.»

Il explique que trois militaires se trouvaient à bord de l'hélicoptère impliqué, alors qu'ils effectuaient un vol d'entraînement lors de la collision.

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand aborde le dossier du Journal de Montréal qui révèle que les dirigeants de la FTQ-Construction n'hésitent pas à dépenser en alcool et en nourriture avec l'argent des travailleurs.

Une bouteille de scotch à 108,25 dollars, des consommations à 55$ le verre, des repas au restaurant dépassant 2 000$... Le directeur général Éric Boisjoly a apposé sa signature sur plusieurs factures, approuvant des dépenses pour souligner les vacances d'été ou dans le cadre de réunions d'équipe.  

«J'ai l'impression de revivre les grands moments de la commission Charbonneau. [...] Le Journal de Montréal nous rappelle les belles années, l'ADN de la FTQ-Construction, c'est-à-dire boire et manger avec l'argent des cotisations syndicales. [...] Ce n'est pas le montant qui jette à terre, c'est le principe.»

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Paul Arcand revient sur les menaces de Donald Trump à l'encontre du Canada, du Groenland et de la Colombie, à l'approche du 1er février, date à laquelle Trump prévoit imposer des tarifs de 25% au Canada.

«Depuis qu'il a fait plier la Colombie, dimanche, M. Trump pense qu'il est en position d'obtenir ce qu'il veut. Ça s'est passé en moins de 24 heures. "Vous prenez les avions avec vos citoyens, sinon je vous impose des tarifs douaniers de 25%" Le président colombien a été obligé de dire oui.»

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À l'occasion de sa revue de presse, lundi, Paul Arcand commente plusieurs sujets, dont l'utilisation du cellulaire dans les établissements scolaires du primaire et du secondaire au Québec.

Selon la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes, les ados québécois sont majoritairement en faveur de l'interdiction complète du cellulaire à l'école.

Les élus de la commission ont rencontré environ 500 élèves à travers la province.

«Le cellulaire, doit-on vraiment l'interdire complètement? Il y a aussi une responsabilité des parents, tout autant que l'État, sinon plus, d'encadrer le temps passé devant les écrans. Pourquoi je dis ça? Parce qu'il y a des jeunes qui ont dit s'être abonnés à des réseaux sociaux à 10 ou 12 ans. Pas le droit, en principe. Mais ces jeunes disent que leurs parents les ont aidés à le faire...»

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Les compagnies Loblaw, Sobeys et Walmart sont soupçonnées d’avoir vendu des emballages de viande avec une quantité inférieure à celle affichée.

«On le sait, les formats sont plus petits et le prix ne change pas,affirme Paul Arcand. C'est assez compliqué de trouver de la réduflation. En tant que consommateur, j'ai tout le temps l'impression que quelqu'un m'attend au coin d'une allée avec une arnaque potentielle.»

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À l’occasion de sa revue de presse jeudi matin, Paul Arcand aborde l’histoire du «violeur de Tinder», Samuel Moderie, un homme de 29 ans, qui écope de 25 ans de pénitencier en plus d’être déclaré délinquant à contrôler pour dix ans.

Il a avoué avoir drogué 13 femmes rencontrées en ligne pour les violer et les filmer. Le juge s’est rallié à la suggestion de peine de la Couronne.

«C’est un puissant psychopathe... intelligent, rusé, charmeur [...] C’est dégueulasse, je vous le dis, on parle d’agression sexuelle, de violence, de coups, de pratique de torture, alors que cette femme-là est inconsciente complètement!» -Paul Arcand

Paul Arcand explique par ailleurs que Moderie s’est fait prendre en raison des photos qu’il a prises de ses agressions. Une affaire qui rappelle celle de Dominique Pelicot en France.

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À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand commente les déclarations du président des États-Unis, Donald Trump, qui ne lâche pas le morceau concernant les tarifs douaniers qu'il entend imposer sur les exportations canadiennes et mexicaines à partir du 1er février. 

«Sur la question des tarifs, M. Trump a un mantra. Il l'a répété encore une fois mardi. Le Canada et le Mexique sont de mauvais voisins qui permettent à des illégaux, des patients psychiatriques, des trafiquants de drogue et des criminels d'entrer sur le territoire américain. 

«Et en parlant de drogue, il a dit que c'est un genre de bar ouvert à la frontière. [...] C'est son argument pour vouloir imposer des tarifs de 25%.»

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